Bonjour amie lectrice, ami lecteur,

 

As-tu déjà pensé que la période estivale n'est pas obligatoirement pour tout le monde un temps de vacances ?

Il y a ceux pour qui la période pendant laquelle les autres se dorent au soleil - s'il veut bien se montrer - est le moment où ils ont le plus de travail. Ceux qui doivent bosser pour que les vacances des autres soient réussies. Il y a les ouvriers et employés des entreprises de transports, le personnel de l'hôtellerie, ceux qui travaillent sur les plages et campings, il y a les infirmières et infirmiers, les médecins et autres aides-soignants, sans oublier la police routière. Souhaitons leur beaucoup de patience avec cette foule excitée de vacanciers, leur tour viendra aussi !     

À toi, qui est parmi les chanceux, je souhaite que tes vacances soient agréables et belles, profite de débrayer pour de bon et d'oublier le stress du boulot.

En ce qui me concerne, cette année également,  je vais me requinquer trois semaines au Bouveret, à la Maison Ste Marthe, on ne change pas une équipe qui gagne…  

                                                                           Erwin  

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www.ztele.com  30 janvier 2013

 

Elle roule 1500 km trop loin

à cause d'une erreur de son GPS !  

Il y a des gens qui font vraiment trop confiance à la technologie - ou qui souffrent d’un léger déficit de sens commun.

Par exemple, cette Belge de 67 ans (dont nous tairons le nom par pitié) qui allait chercher des visiteurs à la gare, à environ 90 minutes de route de chez elle, et qui a fait un léger détour jusqu’en Croatie. Elle écoutait son GPS, la pauvre... Et il lui a fallu quelques jours et plus de 1500 km avant de réaliser qu’elle avait peut-être fait une petite erreur quelque part...

Comment est-ce possible? La victime prétend qu’elle était distraite.

Ben oui, ça explique tout.

 

Voilà qui met de l'eau au moulin des adversaires de la femme au volant.

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09.03.2013 

 

Handicapé, il risque la prison à cause de son rire

Un homme handicapé de New York risque 30 jours de prison à cause de son rire. L'homme, 42 ans, avait, selon un rapport du New York Post, rigolé tellement fort, qu'une voisine a fait venir à plusieurs reprises la police. À 18 heures cette dernière a dénoncé l'handicapé, donc nettement avant la nuit, pour tapage nocturne. Il risque deux fois 250 dollars ou 15 jours de prison.

La mère de l'accusé raconte au micro de l'émetteur régional Pix 11, que son fils, handicapé mental, se faisait régulièrement insulter à cause de cela par cette voisine. "Je lui ai dit: rigoles-en simplement. C'est ce qui a certainement dérangé la voisine." Quand nous lui avons demandé sa version de l'histoire la voisine a simplement claqué la porte.

 

L'handicapé n'est pas celui que l'on croit…

 

 

 

08.02.2013

 

 

Un conducteur de chaise roulante se rend après "fuite".

À Ueckermünde (Mecklenburg-Vorpommern) le conducteur d'une chaise roulante a carambolé un bus et s'est trouvé les roues en l'air. Des passants l'ont aidé à se rasseoir dans sa chaise électrique et l'handicapé de 82 ans a continué sa route sans s'occuper du bus. Le chauffeur de celui-ci a toutefois fait venir la police, à cause des dégâts de peinture. L'handicapé s'est alors présenté à la police. Le fait qu'il ait continué sa route peut être considéré comme un délit de fuite, mais cela doit être éclairci. Encore faudra t'il prouver que l'accusé ait agi intentionnellement.

 

David contre Goliath, en chaise roulante, est-ce un conducteur ?… 

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Publié le 13 mai 2013  

  Il se coupe un bras et prend le volant 

 

Un Hongrois qui s'était coupé le bras accidentellement en dessous du coude a réussi à conduire sa voiture jusqu'à un hôpital en Autriche avec son bras amputé, a-t-on appris de source policière.

L'homme, âgé de 37 ans, avait dû auparavant récupérer son bras dans la machine qui lui avait coupé le membre avant de quitter Purbach, dans l'est de l'Autriche, pour se rendre dans la ville voisine d'Eisenstadt.

C'est parce qu'il était en état de choc que le blessé n'est pas mort vidé de son sang par l'hémorragie, a expliqué la police. Il a été transporté par hélicoptère à Vienne où des chirurgiens ont entrepris de lui recoudre le bras amputé.

Aux dernières nouvelles le bras a dû être décousu à cause d'une infection. Pauvre gars !

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Deux images insolites du net

 

À gauche "Jalousie"

 

À droite

Tourbillon d'eau au lavabo…

 

 

 

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 Les conserves contiennent moins de vitamines C

que les aliments  frais

 

Non, selon leur manière de transformation, les fruits et légumes congelés contiennent plus de vitamine C que les frais. Car les fruits et légumes "frais" rencontrent au cours de leur voyage du champ ou de l'arbre au comptoir du magasin de nombreux voleurs de vitamine, tels que lumière, air, oxygène et chaleur qui rongent à ces réserves pendant des jours et des semaines. Les conserves par contre, si elles sont travaillées immédiatement après la cueillette, conservent leur teneur en vitamines. Les haricots congelés, par exemple, contiennent par 100g deux fois plus de vitamine C que les "frais" qui ont traîné quelques jours au magasin. 

 

Le maïs est un légume 

 

Non, le maïs n'est pas un légume, mais comme le seigle, le blé, l'avoine, le riz et l'orge, une céréale, c'est-à-dire une plante de la famille des graminées. Sous "fruits" et "légumes" on entend les autres plantes utilisées comme nourriture (petits pois, carottes etc.), mais là aussi le classement est parfois contesté. On connaît très bien les "trucs" des statistiques de l'ex RDA, qui, en période de pénurie de légumes, comptait les lourds melons, disponibles en grandes quantités, avec les légumes au lieu des fruits. 

 

 

Napoléon était un homme d'une forte stature

 

Non, on savait fort bien que Napoléon n'était pas un géant - avec une taille de 169 cm il correspondait à la moyenne française de son époque. Mais, qu'il était une véritable mauviette surprendra plus d'un. Selon son biographe Cronin, Napoléon n'aurait trouvé place dans aucune autre incorporation militaire que l'artillerie, qui demande plus de savoir technique que de capacités corporelles: "Il n'était, par exemple, pas en mesure de tenir un cheval avec suffisamment de force entre ses cuisses, il était assis sur la selle comme un sac de pommes de terre, il devait se pencher fortement en avant pour tenir l'équilibre et était souvent éjecté de sa selle lors de la chasse". Comme cela est souvent le cas on a transmis des qualités mentales à tort sur le corps 

 

Le tunnel de la Manche, entre la France et l'Angleterre 

est le plus long du monde    

 

Non, le plus long tunnel de chemin de fer du monde est le tunnel de Saikan qui relie les iles Honshu et Hokkaido au Japon, inauguré en 1988, il mesure 54 km de long, l'Eurotunnel, sous la Manche est 4km plus court. En comparaison; le plus long tunnel de chemin de fer d'Allemagne, au sud de Fulda entre Hanovre et Würzburg, mesure 11 km, celui d'Autriche, l'Inntaltunnel près d'Innsbruck, 13 km et le plus long de Suisse c'est le tunnel de base de la Furka avec 15 km.

Les plus longs tunnels routiers traversent le St. Gothard en Suisse (16 km) et celui de l'Arlberg en Autriche, 14 km. Le plus long tunnel toutes catégories dans le monde ne conduit ni trains ni voitures : mais de l'eau: c'est le tunnel d'approvisionnement en eau potable entre l'état du Delaware et celui de New-York, construit entre 1937 et 1944 il mesure 169 km.  

 

C'est seulement au 20^ème siècle que l'on commença à combattre 

les dégâts causés à l'environnement en légiférant  

 

 

Non, la première loi, connue, contre la détérioration de l'air date de 1382. C'est le Roi français, Charles VI qui punissait le dégagement de "gaz malodorants".

 

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Tante JU  

 

Non seulement il s'appelle - à une lettre près – comme moi, mais il est né dans la même décennie que moi.

Je parle du Junkers Ju52, célèbre avion, construit dans les usines Junkers en Allemagne à partir des années 1932. L'ingénieur Hugo Junkers a construit dans les années 1914-1915 le premier avion entièrement métallique au monde, le Junkers J1.

Après la première guerre mondiale il fabrique le Junkers F13, premier avion de transport commercial entièrement métallique. Le F13 peut être considéré comme le prototype de toute une série d'avions qui aboutissent au Ju52, qui connut un immense succès, tant civil que militaire. Beaucoup de blessés durent leur salut à leur évacuation rapide par celui qu'ils appelaient affectueusement Tante Ju (prononce you).

 

Le Ju52 est un avion en tôle ondulée, initialement prévu pour le transport de marchandises, mais Hugo Junkers comprit très vite que cet avion pouvait être d'un très grand intérêt dans le transport de passagers. Construit à plus de 4800 exemplaires, il a été utilisé par de nombreuses compagnies d'aviation, mais aussi comme avion de transport militaire et bombardier pendant la seconde guerre mondiale. 

Dès 1933 Hugo Junkers avait été dépossédé de son usine par le pouvoir national-socialiste et s'était retiré à Garmisch-Partenkirchen. 

"Tante Ju" est devenu le premier avion construit en grande série. Longtemps il a été l’avion de ligne le plus répandu au monde. Swissair a utilisé trois exemplaires du Junkers Ju52 jusque dans les années 1980. Plusieurs exemplaires volent encore de nos jours, ils exécutent des vols de démonstration, avec passagers. Quelle preuve de robustesse !  

Encore aujourd'hui Ju52 est synonyme de fiabilité, sécurité et qualité. Il a marqué l'aviation civile comme peu d'autres avions. Combien d'avions de son âge peuvent-ils encore effectuer des vols Europe-USA ? Tante Ju le fait !  

Les informations et photos de cet article proviennent de diverses sources d'Internet. J’ai choisi sciemment des modèles civils, tu connais mon aversion pour tout ce qui est militaire. 

 

Tu trouves sur le net tout plein d'images concernant Tante Ju, je te donne ici deux liens pour des vols démonstration avec passagers :  

http://www.youtube.com/watch?v=VmLg7_cNjRE 

http://www.youtube.com/watch?v=7ZJoEwazNQ0 

 

J'avais prévu de faire un vol avec la tante Ju quand je serai à la retraite… Un autre de mes rêves qui s'envole…

 

                                               Erwin   

 

 

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LE  COUP  DE  CHALEUR  

 

 

C'est une véritable urgence médicale, il peut être fatal. On ne le dira jamais assez: si les températures grimpent, restez à l'ombre et au frais ! 

Le coup de chaleur résulte d’une exposition prolongée à la chaleur, pas forcément au soleil, en voiture par exemple.

Comme tous les mammifères, l’être humain vit avec une température corporelle constante de près de 37°C. Quand les températures extérieures grimpent, nous transpirons pour refroidir notre corps.  Mais si nous nous déshydratons, la transpiration s’arrête brutalement, la température du corps monte en flèche. Notre cerveau et notre cœur sont alors gravement mis en danger.

Les symptômes du coup de chaleur: Fièvre supérieure à 40°C,

vertige, fatigue inhabituelle, confusion, transpiration abondante qui peut soudainement s’arrêter. Perte de connaissance dans les cas les plus graves.

Augmentation du rythme cardiaque. Respiration rapide et de faible amplitude. Chute de la tension artérielle

Ce sont des signes à prendre au sérieux!

  

Tout comme les enfants, les personnes âgées courent le plus de risques, elles se déshydratent le plus facilement.

Les personnes fragilisées souffrant de maladies cardio-vasculaires, neurologiques, métaboliques (diabète) courent également plus de risques.

 

Pour éviter les coups de chaleur, respectez quelques conseils simples:

 

Évite les expositions prolongées au soleil, notamment aux heures les plus chaudes (de 11h à 16 h).

Bois beaucoup, au minimum 1,5 litre d'eau par jour.

S’il fait chaud, bois très régulièrement: toutes les 15 à 30 minutes.

Met des vêtements amples et clairs, ils favorisent la circulation d’air et l’évaporation de la sueur. Si tu as un ventilateur ou un climatiseur à disposition, utilise-le! Bois de l’eau avant, pendant et après l’effort.

En cas de sensations anormales, arrêtes-toi: asperges-toi d’eau fraîche et mets-toi à l’ombre.

En voiture, veille à ce que les petits enfants soient à l’ombre et couverts. Ne les laisse en aucun cas seuls dans une voiture à l’arrêt, même quelques minutes.

Sois attentif aux signes d’une montée de la température corporelle, à la fatigue, aux maux de tête, nausées ou vomissements…

 

Les gestes qui sauvent en cas de coup de chaleur : 

Transporte la victime d’un coup de chaleur à l’ombre ou dans un endroit frais. Déshabille-la au maximum et enveloppe-la dans un drap humide et frais pour la rafraîchir ou applique-lui un linge humide sur le visage ou le corps. Si elle est consciente, fais la régulièrement boire de petites quantités d’eau.

Tu peux aussi lui administrer un soluté de réhydratation. Il contient des sels minéraux et du sucre immédiatement absorbables par l’organisme.

Dans tous les cas, appelle les urgences. 

 

Attention à la climatisation ! Ne la règle ni trop froid, ni trop fort! 

Un autre risque de la climatisation est le choc thermique. Les grandes variations de températures (supérieures à 10°C) sont susceptibles de provoquer une perte de connaissance, voire un arrêt respiratoire. Avant d'en arriver là, mieux vaut être raisonnable et régler judicieusement la température afin qu'il n'y ait pas un écart supérieur à 8°C entre l'extérieur et la pièce climatisée.

 

 

Sources : Croix rouge française http://www.croix-rouge.fr/Je-me-forme/Particuliers/Les-accidents-de-l-ete/Coup-de-chaleur.

Extraits concoctés par Erwin, images d'Internet.

 

 

 

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Proverbes d'ici et d'ailleurs

 

France 

Ce sont les tonneaux vides… et les hommes pleins… qui font le plus de bruit.

 

Celui qui doit être pendu à Pâques trouve le

carême bien court.

 

Inde 

Celui qui a un ami véritable n'a pas besoin d'un miroir.

 

Aussi loin que coule la rivière, elle charrie de la boue. 

 

Chine

Quand l'enfant quitte la maison, il emporte la main de sa mère.

 

Cent "non" font moins de mal qu'un "oui" jamais tenu

 

Russie

Les flèches, comme les paroles,

une fois lancées, ne reviennent plus. 

 

Un mot aimable est comme un jour de printemps. 

 

Italie

Qui te craint en ta présence, te nuit en ton absence. 

 

De fortune et de santé il ne faut jamais se vanter.  

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Les escapades de Dominique 

 

 

 

 

Bisse du Torrent Neuf à Savièse

 

Depuis le parking tu rejoins le bisse que tu suivras à travers la forêt jusqu’à la buvette .

À partir de là je te déconseille la suite de la balade si tu es sujet au vertige.

Le bisse continue son tracé agrippé à la falaise, ton chemin aussi... Tu passeras même dans un tunnel. Trois ponts suspendus te permettront d’éviter les lieux dangereux à cause des éboulements.

Le bisse d’origine a été construit en l’année 1430 et son utilisation a cessé en 1934. En 2005 débute la rénovation et on s’y balade depuis 2009.

 

Visite virtuelle sur: www.torrent-neuf.ch 

Texte et photos de Dominique 

 

 

 

 

 

 

 

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Edwin Hubble

 

Astronome américain (1889-1953) qui a permis de mieux comprendre l'univers en démontrant qu'il existe d'autres galaxies en dehors de notre voie lactée. Il a démontré que les galaxies s'éloignaient les unes des autres à une vitesse proportionnelle à leur distance (loi de Hubble). C'est ce que l'on appelle aussi l'expansion de l'univers.

En 1910 il est diplômé en mathématique et astronomie à l'Université de Chicago.

Il a continué ses recherches à l'observatoire du Mont Wilson en Californie jusqu'à la fin de sa vie.

Nous lui devons l'établissement d'un système de classement morphologique des galaxies. Système qui est toujours utilisé de nos jours.

Il est lauréat de la Médaille Franklin en 1939 pour ses travaux sur les nébuleuses. Il reçoit la médaille d'or de la Royal Astronomical Society en 1940. Le télescope spatial Hubble a été nommé ainsi en son honneur, tout comme l'astéroïde 2069 Hubble. Il a découvert l'astéroïde 1373  Cincinnati le 30 août 1935.

Le télescope spatial Hubble est un télescope spatial en orbite à environ 600 kilomètres d'altitude qui effectue un tour complet de la Terre toutes les 100 minutes. Son lancement, effectué le 24 avril 1990 par une navette spatiale, est le fruit d'un long travail de recherche de la NASA et de l'Agence Spatiale Européenne.

 

Edwin Hubble est devenu agnostique vers la fin de sa vie.

Le 28 septembre 1953 il meurt d'une thrombose cérébrale (caillot de sang dans le cerveau).

Il n'y a pas eu de funérailles officielles, son lieu de sépulture n'a jamais été révélé par sa femme.

 

Condensé d'Erwin selon Wikipédia

 

 

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Autour de l'ail 

                                                 

Digestion. Certaines personnes se plaignent de ne pouvoir digérer cette plante indispensable dans la cuisine méditerranéenne. Pour supprimer cet inconvénient, et manger l'ail sans crainte, il suffit d'ôter le germe vert au centre de la gousse.

Cuisine. Pour parfumer délicatement un plat, pique une gousse d'ail épluchée au bout d'une fourchette et frottes-en le fond.

Odeur. Pour atténuer les effets d'une cuisine fortement alliacée, mâche un brin de persil cru, un grain de café ou un clou de girofle et surtout évite de mélanger, au même repas, ail et vin blanc, celui-ci renforce terriblement l'arôme de l'ail.

Salade.  Les tiges vertes de l'ail sont délicieuses dans la salade et remplacent avantageusement la ciboulette. Pour en avoir tout l'hiver, pose une tête d'ail sur un verre d'eau, les tiges se développeront sans peine.

 

Alcool 

Boissons.  Attention à ne pas boire d'alcool lorsque vous êtes sous traitement médical. Certains médicaments associés aux boissons alcoolisées peuvent former un mélange détonnant, très dangereux pour la santé, pouvant aboutir à des comas !

Taches. Pour supprimer une auréole laissée par de l'alcool sur un bois ciré, essaye tout d'abord d'enduire la tache d'essence de térébenthine. Si cela ne réussit pas, prends un bouchon et sers t'en comme d'une gomme, en frottant le bois dans le sens des veines.

Lorsque l'auréole apparaît sur du bois ciré clair, essaie ce truc assez surprenant mais efficace: verse un peu d'huile de table, cela égalisera les différences de tons. 

 

Aspirine. L'aspirine est réellement plus efficace contre les névralgies lorsqu'on l'associe à une tasse de café noir bien chaud. Sans doute par un effet de dilatation des vaisseaux sanguins qui permettent alors une meilleure diffusion des médicaments.     

  

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Suite

Je reprends ce récit quand papa a été enfermé dans une cellule lugubre : 

 

On m'apportait les repas d'un hôtel, évidemment à mes frais. Pendant la journée on devait se promener dans la cour rectangulaire pendant un quart d'heure. On devait marcher en cercle, sans parler aux autres détenus, un gardien se baladait au milieu du cercle et veillait à ce que personne ne transgresse cette interdiction.

 

Du fait que nous n'avions pas le droit de nous raser nous-mêmes, c'est un autre détenu qui officiait comme barbier, nous pouvions demander ses services une fois par semaine. Un détenu polonais, incarcéré pour fabrication de fausse monnaie, jouait le rôle de coiffeur.

Comme je me trouvais dans une cellule à une seule place, les journées semblaient bien plus longues que si j'avais été dans une cellule à plusieurs. Lors d'un des contrôles périodiques j'ai demandé à un aide-surveillant, que je connaissais, de m'attribuer un compagnon de cellule, mais pas n'importe qui, quelqu'un qui correspondait un peu à mon niveau. Quelques jours plus tard ce fut chose faite, j'avais un compagnon, le gardien l'avait amené, avec une paillasse pour couchage.

Mon compagnon de captivité était très excité, il marchait continuellement de la porte à la fenêtre aller et retour, gémissait en s'agrippant à sa tête, ouvrait le bouton de son col de chemise et le refermait au bout d'un moment. Ses chaussures et ses habits étaient dans un triste état, comme ceux d'un vagabond. Finalement je regrettais presque d'avoir demandé un compagnon pour être moins seul. Ce bonhomme m'était des plus antipathique de par son comportement. Il continuait inlassablement sa marche, aller – retour. Il balbutiait des mots incompréhensibles, finalement, n'y tenant plus, je lui dis en russe qu'il était tard et que c'était le moment de dormir, et que s'il ne le pouvait pas, qu'il prenne au moins égard à son compagnon de cellule. Sur quoi il s'est jeté sur sa paillasse et s'est tenu tranquille. Le lendemain matin il s'était quelque peu calmé. Nous nous sondions mutuellement pour savoir qui était qui. Au cours de cette curieuse manière de faire connaissance j'ai découvert que nous nous connaissions déjà, pas personnellement mais par correspondance. Lui aussi travaillait sur un grand domaine en tant que forestier. Il m'a raconté son histoire et expliqué ses suppositions pour quelle raison on l'avait arrêté. Comme chez moi, chez lui aussi tout le monde s'est enfui à l'approche de la guerre. Comme moi, il s'était résolu de ne pas s'enfuir et de rester. En prévision de cela il s'était construit un refuge dans la réserve d'animaux sauvages. Il avait prévu qu'en cas d'urgence il pouvait s'y réfugier et laisser passer la guerre sans y être mêlé. Il y apporta tout le nécessaire tel que draps, literie, habits et nourriture.. Chaque nuit il allait dormir dans ce refuge car il ne voulait pas être surpris par la guerre en dormant dans son lit, sans possibilité de fuite. Quand un jour, sa provision de viande fut arrivée au bout, il se décida d'abattre un cerf de la réserve. Il en avait dépisté un et l'avait raté, il ne put pas tirer une deuxième fois, car la bête avait disparu. Il s'est dit, si je n'y suis pas arrivé aujourd'hui, j'y parviendrais demain… Il n'en eût plus l'occasion, le lendemain on l'avait arrêté. L'officier de police lui avait demandé s'il possédait des armes, si oui il devait les montrer. Quand l'officier eût contrôlé le fusil de chasse il a constaté que celui-ci avait servi récemment, et c'est ainsi qu'il a été arrêté. On le soupçonnait d'avoir tué un cosaque russe, qu'on avait trouvé à une distance d'environ 2 km sur la grande route. Le calibre de la munition de son arme correspondait à celle qui avait tué le cosaque. M était dans l'impossibilité de prouver son innocence.

Plus de 4 semaines s'étaient écoulées depuis mon arrestation et toujours pas d'interrogatoire de la part des autorités, je commençais à me résigner de mon sort. Nous pimentions nos discussions de séquences d'humour macabre, ce qui valait mieux que de se laisser aller et se poser continuellement des questions sur notre avenir. Nous nous familiarisions avec l'idée que nous allions être déportés en Sibérie, dans ce cas nous serions devenus fermiers. De penser qu'on pouvait être condamnés par un tribunal militaire et être passés par les armes ne nous épouvantait même plus. Nous sommes tombés d'accord, que ces méthodes étaient tout de même plus humaines que celles du Moyen-Âge…

En prévision des fêtes de Pâques nous avions commandé quelques friandises à l'hôtel. Nous avions garni la bouteille de limonade avec du papier aluminium récupéré sur les plaques de chocolat. Le jour de Pâques l'aide-gardien avait remarqué notre table joliment garnie. Nous pensions lui faire plaisir en l'invitant à dîner, mais il refusât sous prétexte qu'il n'avait pas le temps.

Nous n'avions aucune idée de ce qui se passait au front de la guerre. Un jour nous pûmes observer par notre petite fenêtre, qu'il y avait continuellement des avions qui se dirigeaient du côté du front, ce qui nous faisait supposer que la bataille avait repris. Nous avons même vu quand un avion allemand a été abattu, il glissait vers le sol, comme un oiseau blessé.

Un jour, M. était en train de se rouler des cigarettes, quand j'ai vu que le garde sur le mur d'en face le visait, sans dire un mot je l'ai tiré parterre, ce qui lui a certainement sauvé la vie. M. était de grande stature et oubliait parfois qu'il ne devait pas se mettre dans la ligne de mire du gardien. M. m'avait remercié tout en ajoutant, que ce ne serait peut-être pas si mal que ça d'être surpris par la mort quand on ne s'y attend pas.

On pouvait chercher de la lecture une fois par semaine à la bibliothèque de la prison, nous renoncions toutefois à lire ces livres sales et poisseux, d'un contenu insignifiant. Il y avait même une église avec culte le dimanche matin, nous y allions uniquement pour nous divertir.

Un jour nous avons constaté que les trains militaires se dirigeaient du front en direction de l'intérieur du pays, c'était donc la retraite! Nous reçûmes l'ordre de nous préparer pour le départ. Nous n'avions pas beaucoup à préparer, sauf un coussin et une couverture pour chacun, choses que nous avions acheté auprès de la direction de la prison pour pouvoir dormir un peu mieux. Les services du dîner se trouvaient encore sur la table, nous les y avons laissé. Mon collègue M. possédait une boîte de salade de fruits, il l'a emportée. Il régnait un tumulte sans pareil dans la prison, on entendait des portes qui s'ouvraient et se refermaient, des noms furent criés, il y avait aussi les nôtres. Cellule après cellule les occupants sortaient et devaient défiler devant une table sur laquelle il y avait un amas de bracelet en fer, chacun de nous était décoré d'un de ces outils avant d'être amené dans la cour de la prison. Quand ce fut notre tour nous constations que nous ne recevions pas de bracelets, cela me surprenait quelque peu. Plus tard on m'a mis au courant que les prisonniers provisoires politiques qui avaient une formation académique étaient dispensés de cette corvée, je ne sus pas si cela correspondait à la vérité ou pas.

Dans la grande cour de la prison il n'y avait pas seulement les prisonniers de notre prison, mais également ceux provenant d'autres villes. Il régnait un bruit épouvantable, bruit provenant des chaînes avec lesquelles les mains et pieds des prisonniers étaient attachés, mais aussi les cris de commandement des gardiens ainsi que les cris d'un nouvel appel de contrôle des noms. 

Au bout d'une heure nous étions prêts au départ. La colonne était formée en rangées de cinq hommes, je marchais à côté de M. Avant de partir on a lu, à l'intention des soldats du convoi positionnés à gauche et droite de la colonne de prisonniers, les ordres suivants: ils devaient décapiter avec leur sabre chaque prisonnier qui se baissait ou qui s'arrêtait. A l'intention des prisonniers il a été rappelé qu'ils n'avaient pas le droit de parler entre eux, avec une nouvelle menace d'être décapité s'ils contrevenaient à ces ordres. Si ces gens avaient su combien on s'en fichait de ces ordres et menaces, on était bien trop abrutis, ils auraient éventuellement proclamé d'autres punitions.  Sur la route en direction de la gare, M. a vu son vieux père sur le trottoir, il n'osa pas se faire reconnaître.

Le front n'était pas bien loin, on entendait le tonnerre des canons, et on voyait passer des transports de blessés, entre des draps blancs on apercevait des corps humains et des taches rouges…

Arrivés à la gare, les prisonniers furent alignés en une longue colonne et contrôlés une nouvelle fois… Le train était composé d'environs 80 wagons marchandise, chaque wagon devait contenir plus de 30 personnes, plus 4 soldats. Dans notre wagon nous étions 32 prisonniers enchaînés et 6 personnes en civil: le collègue M, mon humble personne, un juge de paix, un curé, un propriétaire de brasserie et un commerçant ainsi que quatre soldats armés. Le pays prenait vraiment soin de ses chers enfants, il leur fournissait une garde armée qui veillait à leur sécurité… nous pouvions donc dormir sur nos deux oreilles.

En cours de route nous avons constaté que chaque prisonnier avait reçu au départ quelques pains ainsi qu'une gamelle avec des services. Du fait que nous achetions notre nourriture à l'hôtel nous ne figurions pas sur la liste du chef de cuisine de la prison. Notre dernier repas fût le dîner à la prison, depuis plus rien. Il ne fallait pas songer à dormir, le wagon était trop petit pour permettre à tous de s'étendre au sol. Une grande partie était donc obligée de se tenir assis. Le voyage jusqu'à Moscou a duré 6 jours. Notre long convoi a dû s'arrêter plusieurs fois par jour, sur une voie d'évitement, pour permettre à des trains militaires de passer.  

Dans les gares où il y avait une cuisine militaire, les prisonniers pouvaient recevoir une soupe chaude, comme nous n'avions pas de gamelle, nous utilisions la boite de conserve qui avait contenu la salade de fruits, pour recevoir une petite ration de soupe que nous partagions. Pendant ces six jours, nous avions pour toute nourriture la boîte de salade de fruits, ainsi qu'un demi litre de potage par jour (à diviser par deux). Les trois premiers jours de cette cure d'amaigrissement furent les plus pénibles, ensuite nous nous y sommes habitué, nous fumions un peu plus, pour oublier la faim. Par chance nous avions pu acheter avant de partir 250 cigarettes.

Plus nous nous approchions de Moscou, plus le soleil tapait durement sur le toit en tôle de notre wagon, la chaleur devenait insupportable. Les lucarnes du wagon de marchandise avaient beau être ouvertes en permanence, cela ne contribuait en rien à rendre la température plus supportable. 

60 à 70 km de Moscou le train s'est arrêté brusquement et on entendit des salves de coups de fusils, des cris de commandements, un officier courrait le long du train en ordonnant de fermer les lucarnes. Quand le train s'est remis en route nos gardiens nous ont dit que quatre prisonniers avaient sauté par la lucarne d'un wagon quand le train roulait. En queue du train il y avait un wagon à ridelles, ouvert, sur lequel des prisonniers de guerre autrichiens servaient de gardes, c'est eux qui avaient tiré sur les fuyards. Ils en avaient touché aucun, ou n'avaient pas voulu les toucher.  

Notre voyage, très pénible jusqu'à maintenant, était devenu insupportable  depuis que les lucarnes étaient fermées.

Enfin nous étions arrivés au but, le train s'est arrêté à la gare aux marchandises de Moscou.  La place de la gare était sous surveillance militaire, tous les occupants des wagons durent s'aligner sur la place, à côté du train, pour un nouveau contrôle d'identité. Ils voulaient constater quels prisonniers manquaient, étant donné qu'il y en a qui ont sauté du train. Après deux pénibles heures d'attente, et après lecture des ordres de comportement, la longue file grise s'est mise en route. Aux courbes de la route je pus constater qu'il y avait beaucoup de femmes parmi les prisonniers, certainement soupçonnées d'espionnage comme nous. Un des prisonniers qui marchait devant nous a perdu en cours de route une des ses chaussures, il n'osa pas se baisser pour la ramasser, il fût obligé de continuer pied nu sur les pavés brûlants. Notre but était la grande prison centrale de Moscou, oú il y avait place pour des milliers de prisonniers. C'est depuis cette prison centrale que partaient les déportations pour la Sibérie. Sur le terrain de cette prison il y avait une grande église réservée aux prisonniers. Dans la halle de réception j'ai perdu de vue mon compagnon. Je ne l'ai jamais revu, nous avions pourtant échangé nos adresses, a-t-il été déporté ou même fusillé, je ne connus pas son destin.

Dans la grande halle de la prison tous les prisonniers furent contrôlés, même leurs cigarettes étaient cassées pour voir si elles ne contenaient pas autre chose. Par chance j'ai vu passer l'aide-gardien que je connaissais,  je lui demandai d'intervenir pour qu'on ne casse pas mes cigarettes, ce qu'il a  effectivement obtenu. On m'a mis dans une cellule, avec deux frères, les barons R., cellule prévue pour deux, pour le troisième occupant il y avait une paillasse. Même en prison ces barons au sang bleu estimaient qu'ils devaient observer une politique de classes… l'un demandait à l'autre: "Harald de quel côté préfères-tu dormir, en indiquant les deux lits. J'ai fait remarquer à Messieurs les barons, qu'ici il n'existait plus de différence de classes, qu'il était plus équitable que chacun d'entre nous utilise la paillasse à tour de rôle afin que chacun puisse apprendre à connaître et apprécier les avantages et désavantages de la paillasse…     

                                                                                         ( à suivre)

 

Images d'Internet, sans rapport direct avec le récit de mon papa, Erwin

  

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À soixante-dix ans commence l'été indien de la vie. 
de Edwin S. Shneidman américain, Suicidologue et thanatologue (qui étudie la mort) je ne connaissais pas ces deux expressions.

 

Voici l'été : épousez une femme ombrageuse !

de Jules Jouy : c'est un goguettier (Celui, celle qui participe à une goguette) , poète et chansonnier montmartrois né à Paris le 27 avril 1855 et mort le 17 mars 1897.

 

 

L'été qui s'enfuit est un ami qui part.

de Victor Hugo.

 

Chaque oiseau chante les louanges de l’endroit 

où il passe la saison chaude.

Proverbe peul : Le peul, ou peulh ou fulfulde, ou pular ou encore pulaar, est une langue parlée dans une vingtaine d’États d'Afrique occidentale et centrale, des rives du Sénégal à celles du Nil.

 

Celui qui croit pouvoir mesurer le temps avec les saisons - est déjà un vieillard, il ne sait regarder qu'en arrière.

De Louis Aragon : de son vrai nom Louis Andrieux, poète, romancier et journaliste.

 

On sent vraiment que l'été commence, aujourd'hui la pluie était nettement pus chaude! 
De Anke Engelke (Anke Christina Fischer)  

Actrice comique, animatrice, musicienne,  artiste de doublage et presentatrice. 

 

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Poêlée de pommes aux endives 

 

          Ingrédients pour 4 personnes 

          3  pommes   Golden 

          3  endives 

          200 g  champignons des bois 

          10  oignons grelot (petits) 

          1 c. à soupe margarine 

          poivre 

          estragon 

 

 

1) Pèle les oignons et coupe les en deux 

2) Lave les endives et coupe les en rondelles, retire le cône à la base de chaque endive afin qu’elles soient moins amères. 

3) Retire le pied terreux des champignons, passe les sous l’eau froide et coupe les en rondelles. 

4) Lave les pommes sans les éplucher, retire le cœur et coupe les en petits dés. 

5) Dans une poêle, fais revenir les endives et les oignons avec un peu de margarine pendant 10 min à feu moyen en remuant régulièrement. 

6) Ajoute ensuite les dés de pommes, les champignons, poivre et laisse mijoter de nouveau 10 min. Saupoudre d’estragon avant de servir. 

 

 

Un plat d'été, entre salade et menu complet. Les légumes et fruits composant cette recette dégagent des saveurs permettant de ne pas rajouter de sauces inutiles et de sel. Cette recette est donc pauvre en sodium et convient aux personnes souffrant d’hypertension artérielle. 

 

 

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                                   Dessin impossible

 

 

de Christiane

N° 48

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Définitions du N° 48

Horizontal

A. Établissements pour naître

B. Organisation internationale - Membres mobiles

C. Croyance religieuse

D. Nouerai

E. Transport de marchandise - Fleuve

F. Prêtresse d'Héra - Vase funéraire - Pronom personnel

G. Peuple de la Gaule celtique - Trois fois

H. Filet - Premier marin

I. Résine fétide -  Prénom

J. Qui ne sont pas apprivoisés

 

          Vertical

          1. Changeras 

          2. Benêt - Erres 

          3. Couverture du toit - Indiens 

          4. Désignes la place 

          5. Longue pièce de bois - Abréviation routière - Suivi des yeux 

          6. N'avouerons pas - Abrév. postale 

          7. Pronom pers. - Chanteuse israélienne  

          8. Mamelon du sein - Sandalette 

          9. Du verbe être -  Orateur grec 

          10. Mathématicien suisse - face de dé  

 

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La blague

de l'avant-dernière page 

 

Un avocat vient de mourir et se retrouve devant Saint-Pierre aux portes du Paradis.
L’avocat se plaint:

- Comment? Vous me faites mourir maintenant, moi qui avait une santé de fer et dont la carrière professionnelle était un modèle du genre. C’est un scandale. Vous m’avez fait mourir à 49 ans d’une crise cardiaque alors que j’ai toujours été sportif... J’étais bien trop jeune pour mourir!"
Saint-Pierre consulte alors ses registres et lui répond:

- Ah je suis désolé. On s’est basé sur les honoraires que vous réclamiez à vos clients, et on a trouvé que vous aviez 119 ans."  

 

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Deux vieilles dames assises côte à côte dans un couloir d'hôpital, la première engage la conversation: 
- Dites-moi, avez vous passé de bonnes vacances? 
- Ah, ne m'en parlez pas , j'étais dans le coma. 
- Ah et vous avez eu beau temps?

 

 

Une jeune femme beaucoup plus attirée par les mondanités que par les tâches ménagères dit à son mari : 
- Chéri cette année je voudrai passer mes vacances dans un endroit chic que je ne connais pas...Et le mari réponds : 
- Pourquoi tu n'irais pas dans ta cuisine ? 

 

 

Un homme raconte à son collègue ses vacances:
- La première semaine, on a tout subi: la pluie, la neige, la grêle, le verglas, les tempêtes... et la deuxième semaine, ça s'est gâté...
- Et qu'est ce qui s'est passé ?
- Ma belle-mère est venue…

 

 

 

 

Un Parisien en vacances à la campagne passe devant un champ et demande au paysan:

- Mais comment faites-vous pour obtenir des radis aussi gros ?
- Ce n'est pas compliqué, Monsieur: j'ai semé des graines de betteraves rouge !

 

 

 

Toto a huit ans et passe ses vacances chez sa mémé. Il s'approche de sa grand-mère et lui demande:
- Mamie, mamie, je peux t'amener le fusil de papi?
- Mais pourquoi veux-tu m'amener le fusil de chasse de papi ? Tu sais bien que je ne sais pas tirer et puis je suis bien trop vieille pour utiliser un fusil de toute façon !
- Mais non mamie, c'est pas pour tirer avec, c'est pour le mettre à côté de toi!
- Et pourquoi veux-tu le mettre à côté de moi?
- Parce que papa il a dit "Quand votre mamie passera l'arme à gauche, je vous emmène tous à Eurodisney!"

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