Bonjour !

 

Ce sera la dernière fois que je commencerai avec ce mot. Parmi mes résolutions de fin d'année j'ai décidé - entre autre - de remplacer ce "bonjour" par un article de fond. Encore faudra-t-il que je trouve chaque fois un sujet et que je sois en mesure de "pondre" au moins vingt lignes qui le concerne. On verra bien…

Si tout a bien fonctionné, tu devrais recevoir ce numéro entre Noël et Nouvel-An. Bien que je le fais déjà sur la première et dernière page je réitère ici encore une fois mes meilleurs vœux. Que tous tes souhaits se réalisent. J'ai trouvé originaux ces vœux chinois et j'aimerais te les présenter aussi :
Que les puces de mille chiens galeux infestent le cul de celui qui te gâchera une seule seconde de la nouvelle année, et que les bras de cet énergumène deviennent trop courts pour qu'il puisse même espérer se le gratter...     

 

Comme je l'ai dit ci-dessus, j'ai décidé de changer quelques petites choses à mon Pourquoi-pas ? Tu l'as peut-être déjà remarqué dans l'en-tête et dans les titres d'articles de ce bulletin ? J'ai encore deux-trois changements en préparation, tu verras ça dans les prochains numéros. 

 

Une autre de mes décisions, le Pourquoi-pas ? paraitra chaque fois également sur Internet. C'est même déjà le cas depuis le dernier numéro, sous l'adresse : http://pourquoi-pas-bulletin.eklablog.com/.   

J'avais déjà tenté de le faire dans l'un ou l'autre de mes blogs, mais cela ne me donnait pas satisfaction. Cette fois j'ai un peu mieux réussi… Certainement pas aussi bien que les grands magazines ou quotidiens, mais je travaille avec les moyens du bord sur une plateforme gratuite. Non, je n'ai pas l'intention d'arrêter l'édition en papier, mais comme Internet se propage de plus en plus, j'ai pensé que l'un ou l'autre de mes lecteurs, surtout à l'étranger, se contenteraient de lire le Pourquoi-pas ? Sur le net. Dis-moi ce que tu penses du résultat et le cas échéant si tu veux le lire sur le net.

Le port a tellement augmenté, il n'y a pas de petites économies !

 

Bonnes fêtes et à l'année prochaine !    

                                                Erwin  

 

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Publié le 19 juillet 2011

 

 

Un pigeon prend le même ferry, chaque jour, depuis 3 ans.

Le pigeon a beau être sauvage par nature, il n’en a pas moins -parfois- des habitudes humaines. Les membres de l’équipage d'un ferry New Yorkais ont découvert un pigeon ultra-sociable qui semble suivre le rythme de tout bon New-Yorkais: ferry, boulot, dodo. Le pigeon, rebaptisé Tony par l’équipage, voyage chaque jour depuis trois ans sur ce même ferry.

Il emprunte ainsi le ferry uniquement pendant les heures de pointes. Tony, désormais connu des passagers et qui d’après l’équipage «partage des moments d’amitié avec eux» n’a jamais manqué un rendez-vous, même en jour de grande tempête, l’oiseau n’a pas failli à son voyage. Désormais considéré comme la mascotte officieuse du ferry, les membres de l’équipage lui ont même crée sa page Facebook.

 

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 Publié par  : 

                        

 La Marquise est une voiture à vapeur fabriquée en 1884 par les français De Dion, Bouton et Trépardoux. Elle remporte la première course automobile du monde en 1887, en reliant Paris à Neuilly avec une vitesse moyenne de 42 km/h. Le 19 août 2007, la Marquise a été vendue aux enchères pour 3 520 000 $. © Gooding & Company

M Auctions, l'équivalent de maisons comme Sotheby's ou Christie's pour les voitures anciennes, va vendre aux enchères les 6 et 7 octobre prochains à Hershey en Pennsylvanie la plus vieille voiture du monde. Agée de 127 ans, cette "De Dion Bouton et Trépardoux Dos-à-dos" est le plus ancien véhicule à moteur encore en état de rouler.

Propulsée par deux moteurs à vapeur, "La Marquise" (surnommée ainsi en l'honneur de la mère du Comte De Dion) grimpe jusqu'à 60 km/h et possède quatre places assises. Un réservoir de 150 litres d'eau (Daimler et Benz inventeront deux ans plus tard un moteur au gaz de pétrole) permet à la bestiole une autonomie de 30 kilomètres. A la fin du XIXe siècle, il fallait être patient pour démarrer son "automobile": près de trois quarts d'heure sont en effet nécessaires pour chauffer la chaudière au bois, au papier et au charbon.

Le Comte De Dion eut l'idée de proposer aux particuliers une voiture à vapeur en passant par hasard devant un magasin de jouets, alors qu'il faisait ses achats de Noël. Fasciné par un modèle réduit d'une locomotive en vitrine, il demanda au commerçant le nom du fabricant. Ceux-ci se révélèrent être un certain George Bouton et son beau-frère Charles Armand Trépardoux, spécialisé dans les chaudières. Une fois les "Etablissements De Dion Bouton et Trépardoux" créés, le trio mit au point un premier prototype à vapeur à trois roues en 1883 avant de passer au quadricycle un an plus tard. "La Marquise" était née. Elle a eu quatre propriétaires jusqu'à aujourd'hui. L'un d'eux l'a gardée pendant 81 ans.

 
L'engin serait très difficile à conduire selon un commissaire priseur. Il faut dire que La Marquise ne possède d'abord aucune suspension. Ensuite ses roues métalliques entourées de fines bandes de caoutchouc en font une voiture à la tenue de route plutôt approximative. Un dernier inconvénient est enfin son prix: la belle française vaudrait aujourd'hui entre 2 et 2,5 millions d'euros.

 

            

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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05.08.2011, PP Unterfranken

Chercher de la benzine avec des skis à roulettes – rencontre insolite sur l'autoroute en Allemagne.

 

C'est une rencontre vraiment insolite qu'a faite l'équipage d'une voiture de la police routière de Scheinfurt-Werneck sur l'A 71. C'est un jeune homme, sportif, sur des skis à roulettes qui venait à leur rencontre sur la bande de secours. Il c'est avéré qu'il avait été chercher de la benzine pour leur voiture, tombée en panne d'essence.

L'agente de police et son collègue avaient été informés qu'un accident s'était probablement produit entre Mellrichstadt et la frontière à Thüringen. Qu'à cet endroit une voiture était immobilisée, feux de panne allumés, sur la bande de secours.

Lorsque les policiers sont arrivée à l'endroit indiqué, ils ont constaté que de jeunes norvégiens, sur la route du retour de vacances, se trouvaient en panne d'essence.

Quand les occupants de la voiture avaient expliqué que du secours était déjà en route et que la voiture en question était arrêtée réglementairement, la fonctionnaire et son collègue ont continué leur ronde.

Après environs 200 mètres c'est un drôle d'utilisateur de l'autoroute qui attirait leur attention. En effet, sur la bande de secours, ils voyaient un skieur sur des skis à roulettes foncer à leur rencontre.

Il s'est avéré qu'il s'agissait du secours que les occupants de la voiture en panne attendaient impatiemment. Le jeune skieur était muni d'un bidon à essence qu'il s'était procuré à la station de service de Mellrichstädter Höhe.

Le skieur sur roulettes a naturellement été stoppé et on lui a expliqué qu'il n'avait  pas le droit de se déplacer à pied ou à ski sur une autoroute. Le jeune homme se montrait compréhensif et il paya sans rechigner l'amende qui lui a été infligée pour son activité sportive sur l'autoroute.

C'est à pieds et hors de l'autoroute qu'il continuait son chemin pour rejoindre ses amis. Quand la voiture avait de nouveau de la benzine ils ont continué leur chemin, d'abord en direction de la prochaine station-servis et ensuite en direction de la patrie. 

 

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Extraits de mes Souvenirs de jeunesse

 

"Raconte Grand-papa, raconte"

 

Suite et fin 

 

Mes trois mousquetaires

 

 

 

 

 

Le premier c'est Dominique (ainsi nommé en souvenir de mon grand-papa, Domenico) il a fait irruption dans mon roman, celui de ma vie, en poussant un grand cri de victoire, le quatre octobre 1956 à la maternité de Lausanne.

J'étais fier comme d'Artagnan (pourquoi ce doit toujours être "fier comme Artaban" ? ) d'avoir été capable de co-créer une nouvelle vie !

Tu te rends compte, je suis papa !

Ce petit être, si fragile, si beau, c'est grâce à moi (ou à cause de moi) qu'il fait ses premières tentatives de bel canto ! 

 

 

Le deuxième, Serge, (antécédents russes de mon

papa, obligent) a fait son entrée dans l'Histoire le

sept avril 1960, lui aussi à la maternité de

Lausanne, on ne change pas une équipe qui gagne… 

Devenir papa ce n'est donc pas une habitude, je n'en étais pas moins fier que pour le premier !  L'émerveillement devant la vie nouvelle est tout aussi fort !  Lui aussi est le plus beau, lui aussi m'emplit de joie.

Pour rester dans mes analogies à la Dumas, mon deuxième mousquetaire avait quelque chose d'Athos, pondéré, calme, toujours enclin à dormir. Il nous a fait de grandes peurs, dès ses premiers jours, on a dû lui substituer son sang, par de l'hémoglobine qui lui convenait mieux. Déjà il faisait la fine bouche, son premier sang avait-il un goût de fromage… ?

C'est bien vrai que l'adversité resserre les liens et que la crainte de perdre  ce que l'on vient de recevoir augmente l'amour. Oui, une gradation est possible, elle le fut dans ce cas ! 

 

Mon troisième Mousquetaire est une mousquetaire, Myriam (c'était pour la beauté du nom, mais plus tard j'ai découvert que c'est la traduction juive de Marie, Marie comme ma grand-maman, Maria d'Arsié. Tout comme ses frères elle a choisi Lausanne et sa maternité pour faire son entrée triomphale dans mon aventure. Elle est arrivée le vingt sept février 1965, évitant ainsi de justesse la date du 29 qui l'aurait privée d'anniversaire une année sur quatre !

C'est grâce à de savants calculs et de profondes études que nous avons découvert une méthode infaillible pour fabriquer un mousquetaire au féminine. Je n'ai jamais voulu patenter la méthode, je ne tenais pas trop à ce que cela soit divulgué et que notre mousquetaire "Milady" ne soit copiée…

Un troisième enfant, une troisième joie toute aussi intense que les précédentes, une troisième fierté, un nouvel émerveillement ! 

Si les personnages d'Alexandre Dumas m'ont quelque peu inspiré dans mon récit, c'est peut-être à cause d'une certaine complicité qui existait entre mes trois mousquetaires à moi.  

 

 

Ça déménage…

 

Après notre mariage c'est Lausanne qui abritait notre bonheur tout neuf dans notre premier logement, notre premier studio.

Quand la famille s'est agrandie cela devenait un peu serré. À la même époque j'ai changé de boulot, j'ai quitté mon emploi de magasinier dans le garage de Lausanne pour un même emploi chez un grossiste en pièces détachées automobiles à Berne. Il nous fallait donc de toute manière déménager. C'est à Bümpliz, près de Berne, que nous nous sommes établis dans notre deuxième appartement. Ne me demande pas pour quelle raison, mais nous avons déménagé une troisième fois très peu de temps plus tard pour prendre logement dans une tour à Bethléem, toujours près de Berne. 

C'est au port de Pully, près du lac, que nous avons jeté l'ancre pour prendre nos quartiers dans notre quatrième chez-nous. J'ai changé de travail, j'ai commencé ma vie de vagabond, je suis devenu représentant.

Quand je me suis mis à mon compte en tant que grossiste en meubles, j'ai loué des locaux à Lausanne, avec notre appartement numéro cinq. 

Ici il faut intercaler notre "résidence secondaire", un chalet rustique sur les hauts des Diablerets, c'est le numéro six.

Ta grand-maman préférait depuis toujours habiter la montagne ou elle se sentait mieux, fut heureuse que Les Diablerets  furent choisis pour y établir notre septième antre. 

Quand la propriétaire du chalet aux Diablerets a prétendu augmenter notre loyer à cause du bon air et de la belle vue, nous avons fait comme Peter Ustinov, nous avons quitté la station.

Un peu moins haut, mais toujours en montagne, toujours au bon air, notre huitième logis se trouve au Sépey.

Nouveau changement, et c'est l'appartement numéro neuf, à Ollon.

C'est à Bex que nous avons planté notre tente, notre demeure numéro  dix. Nous l'avons quittée quand son propriétaire voulait vendre. 

Dans notre onzième résidence, une villa, à Châteauneuf en Valais, la sournoise hémorragie cérébrale a mis fin à mon activité commerciale et nous a obligés de déménager une fois de plus pour quelque chose de plus petit et de moins cher. 

Le douzième appartement est également à Châteauneuf, une rue plus loin. 

Pour nous approcher de nos enfants, nous voici dans notre demeure numéro treize, sans quitter le canton des treize étoiles, à Monthey. Treize, un signe de chance… ?  

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RECETTE POUR UNE ANNÉE NOUVELLE

 

Prendre 12 mois complets,
les nettoyer de tout ressentiment de haine et de jalousie
pour les rendre aussi frais et propres que possible.
Couper chaque mois en tranches de 28, 30 ou 31 morceaux,

puis, tout doucement, incorporer dans chaque journée,
un zeste de courage... une pincée de confiance... 

une cuillère de patience… une louche de travail.
Mélanger le tout avec de généreuses portions d'espoir,

de fidélité, de générosité et de douceur.
Assaisonner le tout avec un soupçon de rêves, une bolée de rires

et une pleine tasse de bonne humeur.
Verser la recette dans un grand bol d'amour
et pour terminer...

Décorer avec un sourire... Servir avec tendresse… 

v
 Maintenant vous avez 365 jours pour la savourer       

     avec Amour et délicatesse…    

 

   Trouve sous diverses versions dans Internet, anonyme

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Les escapades de Dominique 

 

Lors de nos dernières vacances, en septembre, j’ai décidé de photographier tous les ponts qui enjambent l’Ardèche. Il y en a 55. L’Ardèche prend sa source à 1467 mètres d’altitude et 120 km plus loin se jette dans le Rhône à Pont-Saint-Esprit dans le Gard. Dans les gorges les crues ont déjà fait monter l’eau de plus de 20 mètres. Nombre de ponts ont été détruits par les crues, puis reconstruits.

L’ultime pont est celui de la Sncf qui relie l’Ardèche au Gard, à noter que seuls les trains marchandises y passent, l’Ardèche étant le seul département français sans trains voyageurs.

En voici trois que j’ai choisi parmi les  234 photographies que j’ai prises.

                                                                                Dominique 

 

 Pont suspendu de Saint-Martin-d’Ardèche (1905)

 

 

Pont du Diable à Thueyts (18ème siècle)

 

 

 

Viaduc de Vogüé (1878), en 1969 le chemin de fer est 

désaffecté pour devenir touristique en 1992 

 

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Les Escapades de Dominique Solution der la devinette du dernier N°

Photo 1 

Temple boudhiste He Hua à Amsterdam

Est aussi connu sous le nom de temple de Zeedijk, empruntant le nom de la rue où il se trouve. C'est un temple boudhiste humaniste chinois, construit en 2000 dans le style traditionnel chinois. Depuis lors, des boutiques chinoises se sont implantées dans le quartier le transformant en véritable Chinatown d'Amsterdam.

Photo 2

Pagode Ching Tsai Lao à Paris

fut construite en 1928 par Ching Tsai Loo, un collectionneur qui avait transformé un hôtel particulier datant du XVIIe siècle en maison chinoise. Il y vendait des antiquités chinoises et ses descendants ont poursuivi ce commerce.

Photo 3

Banque nationale à Luxembourg

La tour de la Banque et caisse d’épargne de l’État, place de Metz, est devenue l’emblème de la banque aussi bien que l’un des symboles de la ville de Luxembourg  

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Dans le dernier numéro, article "Galerie d'attaqués" Dario Moreno, j'ai commis une erreur. En effet, j'ai dit qu'une "bar-mitzvah" était un marriage juif. En réalité il s'agit d'un rite de passage très important dans la vie d’un garçon juif. C'est l'âge de sa majorité religieuse, célébrée le jour de ses 13 ans, à partir de laquelle il est en devoir d’accomplir les commandements.

Plus de détails sur internet : http://www.femininmasculin.culture.fr/Les-rites-de-passage/La-construction-du-genre/La-bar-mitzvah/La-bar-mitzvah 

Merci à la gentille lectrice qui a bien voulu me signaler cette erreur. 

 

                                                                            Erwin

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Pommes de terre aux champignons 

 

 

Ingrédients pour 4 personnes :

 

Environs 8 pommes de terre

250 g champignons de Paris, bolets, chanterelles, selon saison.

2 échalotes

Un peu de bouillon de légumes diététique

Un bon filet de jus de citron et 1 dl de crème légère.

 

 1) Fais cuire au four préchauffé pendant 40 minutes environ, les pommes de terre, bien lavées mais non pelées, emballées séparément dans une feuille d'aluminium avec un filet d'huile et un peu de sel marin.

2) Fais revenir les champignons coupés en julienne, dans un poêle juste huilé, avec les échalotes finement haché. Ajoute sel marin, poivre, un peu de bouillon de légumes et le filet de jus de citron. Hors cuisson ajoute en mélangeant 1 dl de crème légère. 

3) Lorsque les pommes de terre sont cuites, ouvre-les, fends-les en deux, remplis-les avec la farce de champignons. 

4) A déguster avec une bonne salade de saison agrémentée de grains de seigle préalablement trempé une nuit, amène à ébullition le matin, laisse gonfler toute la matinée, recuis 1/2 heure et refroidis. Peut se préparer en grandes portions, se garde très bien au réfrigérateur. Excellent contre les ulcères d'estomac et la rétention d'eau.

 

 

 

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S O C R A T E

 

Socrate est un philosophe de la Grèce antique (469-399 avant J.C.) considéré comme l’un des inventeurs de la philosophie morale et politique.

Il n’a cependant laissé aucune œuvre écrite; sa philosophie s’est transmise par l’intermédiaire de témoignages indirects, en particulier par les écrits de ses disciples Platon et Xénophon.

 

 

 

        

         La sagesse commence dans l'émerveillement

 

 

 

 

Connais-toi toi-même

 

  

                                         L'homme est le seul des

                                           animaux à croire à des dieux

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Tout ce que je sais,

      c'est que je ne sais rien

 

 

 

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Réflexions désabusés d’un conjoint d’handicapée

 

Il y a de cela 42 ans, à la naissance de notre troisième enfant ma conjointe a fait une attaque cérébrale, (accident vasculaire cérébral, AVC)  suivie, trois ans plus tard, d'un deuxième AVC, bien plus sévère. Depuis elle est handicapée, hémiplégique gauche et avec le temps paranoïa…

Depuis cette catastrophe je m’occupe d’elle et de nos trois enfants. Quand on a 30 ans, physiquement on assure. Au début c’est assez facile, surtout que l’on peut demander à sa fille, la plus âgée de vous aider. Aussi c’est elle qui  en pâtit le plus de la maladie de sa mère. Elle n’avait que 8 ans, la deuxième 5 ans et la troisième 3 ans quand la seconde attaque a terrassé leur mère.

Il fallait préparer le manger, faire le ménage, bref tout ce que demande une famille et naturellement faire mon travail de prof. d’école au lycée. Journées bien chargées, ma femme étant là, heureusement, pour recevoir les enfants au retour de l’école.

Beaucoup de péripéties entourent ces années là ! Le temps le plus heureux que j’ai passé, c’était quand je faisais de la musique, avec mes 3 enfants, au sein d’une harmonie. Mais que de temps passé, entre les études des enfants, la musique, le jardin et mes cours à préparer pour le lycée. Comment ai je pu faire tout cela… je me le demande encore ! ! ! Et je ne parle pas des aller - retour dans les hôpitaux, pour ma conjointe. Les enfants ont grandi, ils ont quitté le foyer familial pour faire leur propre vie et je reste seul avec ma femme handicapée. 

L’handicap physique est certainement plus pénible et plus difficile à supporter pour la personne concernée que pour son entourage. Mais que dire du choc moral provoqué par cet état de fait. Il  faut avoir des nerfs d’acier pour ne pas verser dans l’assassinat. Parfois cela devient infernal quand la personne handicapée ne fait aucun effort pour surmonter ses phobies. Cela commence dès le matin, au lever, pour se terminer le soir au coucher, parfois même au delà …

Pendant la journée, il faut subvenir aux besoins de la famille, ménage, courses, etc. surtout au début, quand il y avait encore les enfants à élever. Mais quand ceux-ci sont partis de la maison, je dois bien l’avouer, c’est difficile de ne pas sombrer dans la sinistrose.

Aider ma femme c’est normal, mais quand celle ci est paranoïa, il faut s’endurcir pour ne pas lui tordre le cou, et je l’avoue, je l’ai eu cette envie !

Pourtant cette femme est la mère de mes enfants elle à droit à ce titre et je dois la respecter. Mais pour combien de temps mes nerfs vont-ils tenir ?

Je ne veux pas m’apitoyer sur mon sort, il y a certainement pire comme situation, mais je crois que c’est là un aspect qui mérite à être relevé.

J’admets qu’il est difficile pour une mère handicapée d’admettre qu’elle ne peut plus être comme avant. Dans sa paranoïa elle m’en veut d’être en bonne santé, elle m’accuse d’être responsable de son état et ça, c’est peut-être tout aussi dur à supporter…

 

                                                Gégé      (Identité connue de la rédaction)   

                                                     

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C'est quoi un ACV  ?

(Recueilli par Erwin)

 

L'accident vasculaire cérébrale (ACV) est un trouble vasculaire cérébral touchant les vaisseaux sanguins qui amènent le sang au cerveau.

 

Un ACV survient quand le sang rencontre un obstacle (caillot sanguin ou vaisseau sanguin rompu) et l'empêche ainsi d'irriguer une partie du cerveau. Les cellules privées d'oxygène meurent en quelques minutes et occasionnent ainsi des effets dévastateurs permanents.

 

Il existe deux types d'AVC :

 

• les AVC ischémiques ou infarctus cérébraux (80% des AVC) : artère bouchée par un caillot de sang, ce qui bloque la circulation sanguine,

 

• les AVC hémorragiques (20% des AVC) : rupture d'une artère, déclenchant une hémorragie intracérébrale ou rupture d'un anévrysme (malformation vasculaire congénitale), entraînant une hémorragie méningée.

 

C'est toujours une urgence absolue !

 

 

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de Christiane

 

 

 

 

Définitions du N° 42

 

Horizontal                                                                   Vertical

1. Bande d'étoffe - préposition                         A.  Coups de poing

                       2. Saison - obèse                                                            B.  Faire des vers - département français

                      3. Apportera - coutume                                                 C.  Futur - lettre grecque

                4. Étire - groupe distingué                               D.  Cédant - adverbe

                      5. Tracas - béta                                                                 E.  Unité de mesure - préposition

                     6. Route abrégée                                             F.  Note - agit avec prudence

                     7. Jeu de stratégie - bistrot                             G.  Rivalisa - vis

                    8. Refuse - dispositif optique                            H.  Peintre français

                   9. Actions exercées en justice - argile                I . Hésitation - obscurité

                10.  Réunions - pronom personnel                        J.  Crochet - partie d'un collier

 

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Solution du N° 41

 

Horizontal                                                        Vertical

                    A: TULIPE - SEC                                                 1: TIMIDES - OM

                    B: ITE - ART - TA                                               2: UTILE - ERSE

                   C: MISER - EPIS                                                 3: LESINERAIT

                    D: ILI - RATER                                                   4: TRIMER

                    E: DENTAL - LED                                               5: PARRAINERA

                    F: ERIGEE                                                         6: ER - ALGER

                    G: SERINER - VE                                               7: TET - ER - DE

                    H: RAMER - LIS                                                 8: PELE - LAS

                     I: OSIER - DANS                                               9: ETIRE - VIN

                    J: METRAGES                                                   10: CAS - DEESSE 

 

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Bonne course dans l'an neuf !

 

Meilleurs voeux pour la nouvelle année !