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    Bonjour !

    Je viens d'apprendre que le "Robert" a admis un nouveau mot dans son édition 2012. Il s'agit de "tweet" et son verbe "tweeter" qui viennent ainsi se nicher dans la langue française. Un anglicisme de plus pour embrouiller et enlaidir une langue pourtant si belle. L'explication du mot est aussi tortueuse que doit être l'esprit de son promoteur : "court message informatif posté sur le Web par l’intermédiaire d’un service qui le transmet à des abonnés" . Avions nous vraiment besoin de ce mot, après streaming, freeware, shareware, spyware, hacker, etc… Pourquoi diable ne se donnent-ils pas la peine d'inventer un nouveau mot avec racine française, comme ils ont su le faire avec "courriel" pour "e-mail" !

    En ce qui me concerne, j'essaye d'éviter les anglicismes quand c'est possible. Pourquoi dire "hello" quand le bon vieux "bonjour" ne coûte rien de plus et est compris par tous…

    Allez, je file en te laissant méditer sur tout ça… OK ? J'ai encore quelques downloads à faire avant de go to bed, bye, bye, sleep well… Oh ! Excuse, je répète en français : D'accord, J'ai encore quelques téléchargements à faire avant d'aller au lit, au revoir, dors bien !

                         Erwin  

     

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    http://www.lepost.fr/

    Depuis quelques jours, un kangourou fugueur se promenait dans la campagne de l'Allier. 
    Fin juillet, plusieurs habitants du petit village de Treignat avaient vu le marsupial bondir dans un champ de maïs. L'animal, probablement un wallaby, était depuis recherché par les gendarmes.
    Vendredi, le kangourou a été repéré en plein centre de Montluçon, dans le jardin d'une habitation. 
    .

    Hélas, à la vue des pompiers qui s'apprêtaient à stopper sa cavale, l'animal est mort d'une crise cardiaque, annonce le quotidien La montagne.

    Comme quoi il vaut mieux être prudent avant d’appeler les pompiers… 

     

     

    Yvonne, la vache en cavale qui nargue la police allemande

    LePost | LePost.fr – sam. 6 août 2011

    Yvonne, la vache laitière, s'est échappée le 24 mai dernier. Depuis elle nargue la police et les paysans Bavarois. Yvonne s'était enfuie afin d'échapper à l'abattoir. Depuis, elle se cache dans une épaisse forêt située près de la petite ville de Mühldorf en Bavière. Malgré un important dispositif, qui compte jusqu'à 100 personnes, Yvonne demeure introuvable.

    "La vache la plus intelligente que j’ai jamais vu", disait vendredi un habitant de Mühldorf, rapporte Europe1 

    Pourtant, la vie de la vache n'est plus menacée, elle échappera à l'abattoir. Une association de défense des animaux l'a achetée pour 700 € à son propriétaire.

    Poirquoi pas 41Mais Yvonne reste invisible le jour. La nuit, il lui arrive de faire quelques dégâts. Récemment, avec ses 700 kilos, elle a renversé une voiture de police.

    Les autorités ont eu l'idée de faire venir Walfraud, la sœur d'Yvonne qui appartient à un éleveur Autrichien. Les deux sœurs s'adoraient avant leur séparation, paraît-il. La nuit qui a suivi l'arrivée de sa sœur, Yvonne est effectivememt sortie du bois.

    "Mais elle sait que nous ne pouvons pas tirer quand il fait sombre", raconte le vétérinaire chargé de l’endormir avec une seringue hypodermique, explique encore Europe 1.

    Puis le bovin est retourné dans les bois, vers de nouvelles aventures…

    Pas si folle que ça la vache !

     

     

    Essonne : la police secondée par des chèvres naines

    http://www.metrofrance.com La police a décidé d'utiliser des chèvres naines pour entretenir les abords

    de son site de Bièvres (Essonne). Pas de débroussailleuses ou de tondeuses à gazon pour les policiers

    Ils ont préféré avoir recours à des chèvres naines, sur la suggestion d'un agent. L'équipe d'entretien de

    la pelouse du laboratoire central de la préfecture de police, situé à Bièvres, se composedonc de trois

    chevrettes et trois boucs qui "nettoient les limites du sous-bois en paissant dans les enclos". Et la PP

    souligne que les animaux ont "montré toute leur aptitude à l'entretien du site".

    Très enthousiaste, la préfecture de police – qui ne manque pas de rappeler que cette équipe de choc est "peu sujette aux accidents de travail" – note qu'il s'agit d'une alternative écologique au bruit et aux gaz d'échappement. Elle suggère même que les chèvres deviennent "une solution pour les pelouses du Parc des Princes". 

    Une action vraiment écologique que bien des municipalités devraient prendre en exemple,

     

     

    Poirquoi pas 41

    Aujourd’hui j’aimerais te présenter un blog qui mérite de figurer dans les préférés de tous les amis de la nature.

    C'est le blog de Fanfan "Sympathiquement votre…  L’univers de Fanfan"  tu peux l’atteindre en suivant ce lien :

    http://sympathiquementvotre.wordpress.com/ . Fanfan est une des blogueuses qui m’a ouvert les portes du monde mystérieux d’Internet et de ses blogs. Avec patience elle m’avait guidé les premiers pas, jusqu’à ce que je sache marcher tout seul.

    Poirquoi pas 41Dans son féerique domaine elle observe les animaux qui veulent bien lui rendre visite. Il y a les oiseaux et insectes qu'elle sait approcher en macro, ce qui permet d'observer tous les détails. Que ce soit un moustique ou une libellule, mais aussi des bestioles plus grandes tel que l'aigle d'Amérique ou encore la loutre bien de chez nous.

    Les coups d'gueule ne manquent pas non plus. Que ce soit pour prendre la défense d'animaux, de critiquer l'administration cantonale ou fédérale, ou encore mettre au piloris les pédophiles de tout crû.Poirquoi pas 41

    Des infos de tous genre, toujours pertinents, en font un aide-mémoire pour tout blogueur intéressé.

    Ce site est vraiment sans fin, quand tu crois avoir tout vu, tu découvres encore tout plein de choses qui valent la peine d'être vus. …

     

                                             Erwin      

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    Poirquoi pas 41          Remuage ou Transhumance

              au Val d'Anniviers

              Erwin Junker

     Quand j'ai cherché à me documenter sur ce que                                    l'on appelait le "Remuage" entre Sierre et le Val d'Anniviers j'ai appris (merci Michel Theytaz dans 24h) que le terme "Transhumance" en tant que transhumance des familles, n'existait pas dans le patois du Val d'Anniviers. C'est "Remuage" qui est le mot juste pour désigner le déplacement des familles entières entre Sierre et le Val d'Anniviers afin de permettre d'effectuer les travaux de la vigne en plaine. Ce "Remuage" se faisait avec tous les membres de la famille, avec tout le bétail, y compris chats et poules. Souvent même une partie des ustensiles de cuisine et des meubles étaient "remués".

    Le mot "transhumance" utilisé dans le Midi de la France et dans  d'autres régions désigne généralement le déplacement du berger avec son troupeau de bétail, sans sa famille et sans tout son ménage.   

    Mon ami Régis Crettaz, passionné par la vie de ses ancêtres, avait mis en honneur sous le nom de "Maison du Remuage" une ancienne maison qui lui appartenait, dans le quartier de la Tservetta à Sierre. Il y a instauré un véritable musée du "Remuage" et il en a fait don aux Communes d'Anniviers. 

    Cette maison peut être visitée par des Poirquoi pas 41

    écoles ou autres groupes sur demande.

    Renseigne toi à l'Office du Tourisme à

    Sierre.

     

     

     

     

     

     

            Maison du remuage, Tservetta, Sierre

     

     

     

    Poirquoi pas 41

     

     

     

     

     

     

    Scène de remuage au Val d'Anniviers.

    Certaines familles procédaient au remuage jusque dans les années 80. 

     

     

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    Extraits de mes Souvenirs de jeunesse

    "Raconte Grand-papa, raconte"

    (suite)

     

    Sur les planches…

    Pourquoi pas ?... 

     

     

    C'est à l'école enfantine que pour la première fois j'ai été acteur sur une scène de théâtre. Je jouais le rôle d'un nain, dans je ne sais quelle histoire. Un nain, avec une barbe et un bonnet qui avait une longue pointe qui me pendait dans le dos.

    Une autre fois j'étais un berger dans une représentation de la crèche de Noël. 

    Le monde du cirque m'a toujours fasciné. Lorsque un petit cirque (je crois qu'il s'appelait Olympia)  avait établi ses quartiers d'hiver à Sierre, les enfants de la balle poursuivaient leur écolage dans notre classe. J'étais très fier, et curieux, d'aller chez l'un de ces nouveaux copains d'école, dans sa roulotte, faire les devoirs avec lui.

    Ce petit cirque ne peut naturellement pas se comparer avec les grands cirques, comme Knie. Il n'avait pas de tente, les tréteaux étaient dressés en plein air tout comme les bancs pour les spectateurs. Quand il pleuvait il fallait ouvrir le parapluie ! Il n'y avait pas d'animaux sauvages, peut-être un chien savant ou un perroquet.   

    Poirquoi pas 41Le numéro de trapèze me faisait peur, comme aussi celui du grand mat où des artistes, habillés en matelots, se laissaient glisser à toute vitesse, la tête la première, depuis le sommet pour ne s'arrêter qu'à la dernière seconde, avant de s'écraser au sol.

    Les clowns, avec leur nez rouge et leurs énormes chaussures, me faisaient toujours rire de bon cœur. 

    Une fois que les artistes de la piste avaient quitté Sierre, je jouais au cirque avec des copains. Chez des voisins, dans la cour, il y avait un tube métallique, à la hauteur du premier étage. Je tentais de faire comme les funambules du cirque, de marcher sur ce tube, sans toutefois y parvenir.

    Je réussissais mieux à faire le clown, je me souviens d'une scénette… « Abeille donne-moi du miel »…

    Plus tard, avec une équipe de copines et de copains, j'ai voulu monter un groupe théâtral . Cela n'a jamais été plus loin que les répétitions d'un vaudeville. Nous avions obtenu l'autorisation de faire ces répétitions dans le local des éclaireurs. Local tout aménagé en salle de spectacle, avec une vraie scène, de belles coulisses, le trou du souffleur et naturellement un grand rideau rouge. Encore une odeur, celle de ce rideau qui sentait la poussière et le renfermé, qui me revient en mémoire…

    Nous n'avons jamais présenté notre vaudeville à un publique. Je ne suis donc pas devenu le grand acteur comme je me voyais déjà… mais nous nous sommes drôlement bien amusés lors de ces répétitions ! 

    Finalement c'est vers l'âge de 18 ans que je me suis trouvé sur une vraie scène, avec un vrai public qui avait (vraiment) payé pour assister à notre production. Une bande de copines et de copains, nous avions fondé une société de variétés, sous le nom de "Pourquoi pas" (déjà) !

    Nous avons monté un spectacle avec des scénettes drôles, des tours de chant (un de nos membres était un parfait imitateur de Tino Rossi) et moi-même, je présentais des tours de prestidigitation. En deuxième partie de la soirée un orchestre de douze musiciens conduisait un grand bal. Un orchestre qui jouait dans le genre de Glenn Miller, 12 musiciens, du jamais vu pour Sierre !  Il venait de Lausanne (tu te rends compte, d'une grande ville… ) et nous… comment allions-nous faire pour payer leurs gages… ?

    Tout le monde nous prédisait un fiasco !

    Le soir du spectacle j'ai poussé un grand "ouf" de soulagement quand notre caissier nous a annoncé qu'il y avait suffisamment de billets de vendus, que nous pouvions honorer nos engagements !  Finalement nous avons même fait un petit bénéfice.

    Cette expérience est restée sans suite.

    Beaucoup plus tard, dans une autre vie… j'ai ressorti l'enseigne "Pourquoi pas ?", pour une autre comédie, un autre drame… 

    Mais cela c'est une autre histoire. Pourquoi pas ?

     

    Mes petits boulots… 

    Poirquoi pas 41Un de mes premiers petits boulots n'était en réalité pas un boulot, mais un moyen astucieux pour gagner quelques centimes :  j'étais mangeur d'insectes… mon frère Hubert, me payait si je mangeais de ces bestioles vivantes. Il avait établi un tarif : pour un moustique avalé je recevais un ou deux centimes, une mouche devait tourner autour des cinq centimes, venaient ensuite les petits vers et finalement les gros vers blancs qui rapportaient 50 centimes, une fortune…

    Le plus grand de mes petits boulots fut celui de placeur au cinéma. Le cinéma n'était pas encore le gros truc qu'il est devenu aujourd'hui. À Sierre il n'y avait qu'une seule salle de cinéma, le Casino. On y donnait une seule séance par jour, deux le dimanche. Aller au ciné c'était un événement, presque une fête.

    Il fallait économiser longtemps pour pouvoir y aller. 

    Aussi, quand j'ai pu dégoter le boulot de placeur au cinéma, le soir, après mon travail d'apprenti gratte-papier, il me semblait que chaque soir c'était la fête. Ma première récompense était de pouvoir regarder les films gratuitement. J'ai regardé certains films de fort nombreuses fois. Je me souviens de films tels que "L'éternel retour" de Jean Cocteau avec Jean Marrais, ou "Nous irons à Paris" avec l'orchestre Ray Ventura que j'ai bien vu une dizaine de fois !

    En rentrant à la maison, après la séance, je me prenais souvent pour le héros du film !  Les gens qui me croisaient dans la rue devaient se poser des questions en m'entendant déclamer des répliques du film. Je restais pris dans l'ambiance et l'action du film longtemps après que les projecteurs s'étaient éteints.

    Une autre récompense, et pas la moindre, c'était de pouvoir placer les filles qui me plaisaient dans un coin discret où je pouvais les rejoindre, naturellement uniquement pour leur expliquer le film… Pendant l'entracte je vendais des bonbons, des chocolats et des ice-creams. Les rares pourboires étaient les bienvenus. À la fin du mois je touchais aussi un petit pécule me permettant de me joindre aux copains pour les sorties en bande.

    Et encore, j'ai ramassé du sureau rouge des montagnes (ce n'est pas le même que le noir) je le trouvais sur les hauteurs, souvent du côté de Brie, en dessous de Vercorin. Les grands bidons étaient relativement vite remplis, mais il fallait ensuite les porter jusqu'à la maison ce qui n'était pas une mince affaire !  J'arrivais facilement à vendre ce sureau à des connaissances (et connaisseurs) bien des gens croyaient que ces baies au goût rébarbatif étaient du poison, en réalité c'est même une plante médicinale. 

    J'ai frôlé la carrière de tennisman… j'étais ramasseur de balles !  

    J'ai joué le rôle de blessé ou de mort lors d'exercices et cours de samaritains. 

    J'ai été acquisiteur d'espaces publicitaires dans des programmes de manifestations sportives et je vendais des abonnements à divers journaux.

    Tout cela naturellement après les heures de travail. 

    Ces petits boulots m'ont certainement permis d'apprendre à travailler. Ils m'ont appris un tas de trucs et m'ont rendu plus débrouillard, ce qui, plus tard m'a aidé et ouvert bien des portes… ! 

    Ils m'ont aussi appris qu'il n'existait pas de sot métier, que chaque travail, chaque travailleur avait droit au respect. 

    Oui, j'ai souvent dit merci à mes petits boulots !     

     

    Clochemerle à Sierre 

    Poirquoi pas 41C'est la fête des fifres et tambours à Sierre. Avec mon ami Régis on se balade toute la journée de dimanche dans les rues du grand village qu'était la ville de Sierre en écoutant les concerts des groupes qui se sont donné rendez-vous dans notre cité, pour le giron.

    En déambulant sur le trottoir, Régis me raconte ses exploits de la veille. Avec une bande de copains ils avaient été à un bal à Miège, un village près de Sierre. En sortant de la cantine ils ont chanté le refrain en vogue chez les jeunes : "J'emmerde les gendarmes…" sans voir le policier qui était de faction… bonne pâte, ce dernier leur avait demandé de chanter moins fort, moins faux et surtout de changer de répertoire.

    Tout en me racontant ces péripéties on arrive devant les pissoirs publics adossés à la maison bourgeoisiale. Des latrines dignes de "Clochemerle". Une tôle noire met celui qui se soulage à l'abri des regards indiscrets, tout en laissant dépasser le bas des jambes et le haut du crâne.

    Une journée de fête est l'occasion de se désaltérer un peu plus quePoirquoi pas 41 d'habitude, aussi il était devenu urgent de soulager notre vessie. On entre dans la pissotière et on fait de la place pour la prochaine bière. En reboutonnant nos braguettes nous nous retournons et la pissotière tout entière semble nous dégringoler dessus. Nous avons pris, l'un comme l'autre un sacré coup de poing sur le nez !

    Sans comprendre ce qui m'arrive, je me trouve étalé parterre, à moitié dans la pisse, essayant de voir quel est ce personnage fou furieux qui nous a caressé si gentiment…  

    Le brouillard dissipé, je vois depuis ma position inconfortable, sur le sol crasseux, deux gros souliers noirs, deux jambes dans un pantalon brun kaki, un veston avec des boutons dorés, un cou de taureau, une tête de brut surmontée de la casquette typique des flics de Sierre…

    On s'est fait agresser par un gardien de l'ordre !  Régis, plus costaud que moi, m'aide à me relever en disant : "Mais qu'est ce qu'on a fait" ?  Une fois que moi aussi je suis debout, le flic ne me semble plus aussi énorme, mais c'est toujours une sacrée armoire et il sait même parler : "ça vous apprendra de dire que vous emmerdez la police" !  Il fait demi tour et sort des toilettes, nous laissant là, abasourdis. 

    Nous avons porté plainte contre ce "gardien de la paix" qui était ma foi bien guerrier !  Vu notre jeune âge et la respectabilité assermentée de l'agent de police, tout a fini en queue de poisson devant le juge qui a conseillé au flic de mieux contrôler ses nerfs et à nous de mieux surveiller nos paroles.  

    Cela n'empêche pas que j'aime toujours entendre les fifres et tambours, surtout s'ils sont du Val d'Anniviers, mais à chaque fois cela me fait penser à mon vol plané au fond des commodités… pas si commodes que ça, un beau dimanche de fête, à Sierre.

    Poirquoi pas 41

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    Aux toilettes du théâtre

    De Gaule et Pompidou se rendent aux pissotières pendant l’entre-acte.

     De Gaulle constate : ’’Belle pièce…’’

    Pompidou jette un oeil du côté de De Gaule et dit : ‘’Oh ! merci mon Général, la vôtre aussi’’ !

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    Poirquoi pas 41

     Galerie d’attaqués

    Célébrités ayant subi une attaque cérébrale 

     

    Dario Moreno 

     

    Chanteur, compositeur, parolier, guitariste, et acteur, est né en 1921 à Izmir en Turquie d’un père turc - qui meurt alors qu’il n’a que quelques mois - et d’une mère mexicaine.

    Il est inscrit à la faculté de droit et devient stagiaire dans cabinet d'avocat au début des années 1940.

    Très jeune il commence sa carrière en chantant dans les Bar Mitzvah (mariages juifs) et à la Synagogue. Aimant aussi faire rire, il se produit régulièrement avec des orchestres de mariachis. Il fait une tournée mondiale dans l’orchestre de l’américain Mac Allen.

    En 1948 il enregistre son premier disque, un boléro, "Quizas, quizas, quizas" chez Odéon, c’était un 78 tours. C’est un vrai  chanteur d'opérette, sa voix de ténor lui permet de se produire dans des registres fort différents : il est à l'aise aussi bien dans "La Vie parisienne" d'Offenbach que dans "Le Chanteur de Mexico" de Francis Lopez aux cotés de Luis Mariano.

    En 1954 il donne son premier concert et devient très populaire grâce à des chansons comme "Quand elle danse". "Por favor", "Si  tu vas à Rio".

    1954 est aussi l’année de son premier concert, il chante des compositions de  Charles Aznavour et de Gilbert Bécaud.

    Parallèlement il fait carrière au cinéma : il danse le mambo avec Brigitte Bardot dans une scène célèbre de "Voulez vous danser avec moi" , de Michel Boisrond en 1959. On le retrouve dans plus d’une dizaine de films dont "Le Salaire de la peur" (Henri-Georges Clouzot, 1952), "La Môme vert de gris" (Bernard Borderie, 1953) avec Eddie Contantine, "La Femme et le pantin" (Julien Duvivier, 1959), "La Prisonnière" (Henri-Georges  Clouzot , 1968)… Dans "Oh ! que mambo" de John Berry (1958), il interprète la chanson titre ainsi que son succès du moment, "Si tu vas à Rio".

    En 1968 il crée, à Bruxelles, avec Jacques Brel la comédie musicale "L’homme de la Mancha" qui devait être repris à Paris en décembre, mais dix jours avant la première, Dario Moreno meurt le 1er décembre 1968, à 47 ans, foudroyé par une hémorragie cérébrale et c’est Robert Manuel qui le remplace à pied levé. 

    Durant toute sa vie Dario Moreno est resté très attaché à la Turquie et à la ville d’Izmir ou on peut lire sur sa maison :

     

     Mon Izmir chérie, ma douce et bien-aimée ville!

     Si un jour je mourais loin de toi,

     Puisse t’on me ramener vers toi.

     Mais, alors que l'on me transportera

     dans ma tombe

     Que l'on ne dise pas "Il est mort",

     Que l'on dise plutôt, "Il dort".

     En ton sein, mon Izmir chérie. 

     

    Extraits de divers es biographies du Net 

     

    Dans "Le salaire de la peur"

    Poirquoi pas 41

    Poirquoi pas 41

    Et la célèbre danse avec Brigitte Bardot

        Poirquoi pas 41

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    Poirquoi pas 41

     

    Que la Suisse a une frontière commune avec cinq pays : Italie, France, Allemagne, Autriche et Lichtenstein.   

    Que la Suisse s'étend sur une moyenne de 350 km d'est à ouest et 220 km de nord à sud.   

    Que la plus haute montagne de Suisse est la pointe Dufour dans le canton du Valais avec 4634m.   

    Que l'espérance de vie en Suisse à presque doublé depuis 1900. Un homme qui naît aujourd'hui, peut, selon les statistiques, atteindre 79,8 ans. Pour les femmes c'est 84,4 ans.

    Qu'en Europe, la Suisse a le plus grand pourcentage (0,01%) d'habi-tants qui ont plus de 100 ans.     

    Que les femmes suisses ont dû attendre longtemps sur l'égalité politique: Ce n'est qu'en 1971 que les hommes leur ont concédé ce droit. 

     

    Que Nestlé est la plus grande entreprise privée  suisse. Fondée en 1866 par un réfugié politique d'Alle-magne. Nestlé est aujourd'hui le plus grand trust de produits alimentaires du monde.

     

    Que la plupart des entreprises suisses sont de petite et moyenne taille: Plus de 99% de ces entreprises occup-ent moins que 250 employés à plein temps mais constituent deux tiers de tous ceux qui exercent une activité professionnelle.    

     

    Que l'on ne peut ni prouver ni réfuter si Guillaume Tell, notre héros national, a vraiment existé. Mais l'histoire pourrait bien, comme celle de Robin Hood avoir un noyau historique.

    Que Jean-Jacques Rousseau un des philosophes le plus influents du XVIIIème siècle était bourgeois de Genève.

    Qu'il y a environ 40'000 Yéniches en Suisse, soit l’équivalent de la population de Nidwald ?

    Que par tradition, la Suisse est un pays chrétien - catholique et protestant. Le préambule de la Constitution fédérale débute par ces mots : Au nom de Dieu Tout-Puissant, bien que la Suisse est sensée être laïque et observer une séparation de l'église et de l'État…  

     

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    Pourquoi pas 41 

    La Recette de Grand-maman

     

    Pâtes aux champignons

     

     

    Pour 6 personnes

    400 gr de pâtes 

    300 gr de champignons 

    100 gr de jambon cru 

    100 gr de beurre 

    4 feuilles de basilic 

    50 gr de Parmesan râpé 

    Sel et poivre 

     

    1. Fais bouillir une grande casserole d'eau légèrement salée. 

    2. Coupe la partie sableuse du pied des champignons, lave-les à grande eau sans les laisser tremper, coupe-les en lamelles, coupe le jambon en bandelettes, lave et hache les feuilles de basilic 

    3. Fais cuir les pâtes à l'eau bouillante pendant 15 minutes environ. 

    4. Fais fondre 75 gr de beurre dans une poêle, jettes-y les champignons. 

    5. Fais-les cuir à feu vif pendant 4 à 5 minutes en remuant avec une cuillère de bois, puis ajoute le jambon et le basilic, mélange, sale, poivre, laisse mijoter (cuir à feu doux) pendant trois minutes. 

    6. Égoutte les pâtes, rince-les à l'eau chaude pour quelles ne collent pas et ne refroidissent pas.

    7. Mets-les dans un plat creux, ajoute la sauce aux champignons et le reste de beurre, saupoudre abondamment de Parmesan râpé.

     

    Sers très chaud.

    Bon appétit ! 

    Pourquoi pas 41 

     

     

     

     

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    Dans quelle ville est-ce ? 

    Les escapades de Dominique

     

     

    Pourquoi pas 41

    Devinez dans quelles villes européennes ces trois photos ont été prises par Dominique.

    Si vous trouvez en plus le nom des bâtiments, c'est que vous êtes très forts...

    Soutions dans le prochain numéro.

     

     

    Pourquoi pas 41

     

     

    Pourquoi pas 41

     

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    Pourquoi pas 41

                                                  Dessin impossdible

                                                   Pourquoi pas 41

    N° 41                             essaie d'utiliser cette rondelle

    de Christiane                                                      

     

                                    

     

    Pourquoi pas 41

     

     

    Horizontal 

    A. Plante bulbeuse   -   aride 

    B. Fin de messe   -   habileté   -   adjectif possessif

    C. Parier   -   Mèches rebelles

    D. Rivière d'Asie   -   louper

    E. Qui a rapport aux dents   -   diode

    F. Dressée

    G. Rabâcher   -   cale

    H. Soutenir une plante   -   bouquines

    I. Matière flexible   -   à l'intérieur

    J. Quantités de tissus

     

    Vertical 

    1. Manque de hardiesse   -   club de foot

    2. Qui rend service   -   anneau de cordage

    3. Économiserait

    4. Travailler dur

    5. Soutiendra un projet

    6. Fin de mode   -   capitale africaine

    7. Coupelle de laboratoire.  -   note retournée  -   cube à jouer

    8. Sans cheveux   -   fatigué

    9. Allonge   -   boisson

    10. Situation   -   divinité

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    Solution du N° 40  

                         

    Horizontal

    A. PAVILLONS

    B. AIE   -   IASI

    C. USINES   -   CAL

    D. VELUS   -   TETS

    E. LESTE

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    Pourquoi pas 41

     

    Un Val d'Illien à l'agonie fait venir à son chevet deux notaires de Monthey. Ceux-ci accourent, persuadés que c'est pour le testament. Lorsque chacun fut posté de part et d'autre du lit le moribond s'écria : "Comme Jésus je voulais mourir entre deux larrons."

     

    Il fut un temps où le curé d'Ayent avait la passion des "reines" et montrait son étable à chaque confrère de passage. Inspectant un jour son troupeau, le curé de Saillon se tourna vers lui en disant "Tu as bien une belle paroisse."

     

    Que se passe-t-il si la lumière manque dans un quartier valaisan ? A Evolène, on dépose plainte. A Sion, on nomme une commission d'enquête. Dans le val d’Anniviers on demande un subside à l'État. A Bagnes, on change l'ampoule et on n'en parle plus.

     

    Gouverneur pas toujours commode, Georges Supersaxo marqua l'histoire valaisanne au 16ème siècle. Il avait trois lettres pour devise "WGW- Wie Golt will." (Comme Dieu le veut) Ce que les Valaisans de l'époque traduisaient par "Wie Georg will" (Comme Georges le veut).

     

    Plus leur vignoble est réputé, plus les vignerons se taquinent entre eux. "Tu regardes s'il y a du dépôt ?" demande un gars d’Ardon à un ami de Chamoson qui, invité à sa cave inspectait la bouteille. "Non, je cherche les cornichons".

     

    oooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooo

     

     

    Bon, j'y suis parvenu...

    Je crois que c'est le mieux réussi de tous mes essais de mettre mon "Pourquoi pas ?" sur le net... 

     

     

     


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  • Commentaires

    1
    tartizette
    Vendredi 4 Novembre 2011 à 12:48

    Bonjour Monsieur,

    petite remarque au sujet de l'article de Dario Moreno

    La bar-mitzvah (“fils du commandement”), est un rite de passage très important dans la vie d’un garçon juif. C'est l'âge de sa majorité religieuse , célébrée le jour de ses 13 ans, à partir de laquelle il est en devoir d’accomplir les commandements.

    http://www.femininmasculin.culture.fr/Les-rites-de-passage/La-construction-du-genre/La-bar-mitzvah/La-bar-mitzvah

    Je me réjouis d'aller visiter la maison de remuage de Tservetta lors d'une visite dans la région de Sierre. Merci pour cette information intéressante.

    Et je vais de ce pas me faire des pâtes aux champignons !

    bonne fin de semaine

    2
    Vendredi 4 Novembre 2011 à 15:59

    Bonjour tartizette,

    merci pour la rectification au sujet de la bar-mitzvah, je ne manquerais pas de réctifier dans le prochain numéro. 

    J'aurais aimé visiter ton blog, mais je ne trouve pas de lien...

    Amicalement

    Erwin 

    3
    tartizette
    Samedi 5 Novembre 2011 à 01:53

    ... je ne tiens pas de blog !

    bien cordialement

    4
    Jeudi 15 Décembre 2011 à 19:06
    Euphorbe-Ghislaine

    bonjour Erwin......

    j'ai vu que vous êtes passé chez moi ....c'est sympa , dommage que vous n'ayez pas laissé un petit mot ...pas grave ..avec votre avatar j'ai pu vous retrouver , alors me voici , me voila , comment allez -vous mon cher monsieur ..?? comme quoi qu'après un problème de santé comme vous avez eu on peut pour la personne qui s'en donne les moyens , il est possible de vivre et vivre heureux....comme vous ...je ne connais personne dans mon entourage qui a eu ce problème de santé mais une voisine à une maladie qui la paralyse peu à peu mais est déterminée a vivre au mieux et je trouve qu'elle a beaucoup de courage ...tout comme vous ...et ça c'est bien ..je vous souhaite une bonne une bonne continuation ...et une bonne journée ..

    à bientôt .. bien amicalment        ghislaine

     

    Je me suis permis de déplacer ton commentaire (que j'ai retrouvé) car le billet où tu l'avais mis n'étaiut qu'un essai...  

    5
    gerard1948 Profil de gerard1948
    Mardi 27 Mars 2012 à 08:49

    Merci de passer de temps en temps chez moi, c'est sympa.Je suis passé sur votre blog ce matin, et j'en ai commencé la lecture, j'aime beaucoup, c'est drole parfois. Je reviendrai. Gerard.

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    6
    Samedi 2 Juin 2012 à 23:28

    Raison d’espérer. Les nouvelles, ce matin, sont sinistres. Un lecteur extraterrestre non informé des turpitudes qui agitent notre monde aurait une bien piètre opinion de notre « humanité «

    ! On ne lit que crimes, vols, détournements, coups d’état, mensonges, promesses futiles et hypocrites, et tous les mauvais coups dont nous sommes hélas capables.

    Heureusement, mais cela ne paraît pas dans la presse, car c’est moins vendeur que l’horrible, il est des nouvelles bien plus « ensoleillantes « .

    J’ai reçu un courriel d’une personne née il y a à peine plus de vingt-six ans, à Lifou, dans ce bel archipel des Loyauté, que les gens du pays nomment Drehu, ce qui n’est pas particulièrement extraordinaire, j’en conviens. Cette personne poursuit actuellement, et brillamment, des études en Master 2 d’économie à l’Université de Montpellier.

    Sans être quand même très commun, ce n’est pas non plus transcendant

    L’été dernier elle a sauté en parachute. Des millions de gens en font autant, et il n’y a pas de quoi faire les choux gras de la presse pipeule ( j’écris comme je veux..).

    L’été qui vient la verra au Maroc, en Belgique, en Irlande, et dans le Sud de la Gaule, et des milliers de gens iront visiter les mêmes lieux.

    Mais ces centaines, ces milliers, ces millions de gens n’ont pas été victimes, il y a dix ans, de l’accident, idiot comme tous les accidents, qui l’a rendue tétraplégique et l’oblige à se déplacer en fauteuil roulant. Sans jamais se plaindre.

    Et ces centaines, milliers et millions de gens n’ont pas la moindre idée de l’immense fierté qui m’envahit à chaque fois que je pense à elle, c’est çà dire tous les jours, car elle est ma petite fille.

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