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Bonjour amie lectrice, ami lecteur,

 

Voici une image de mon traditionnel séjour requinquant à Sainte Marthe au Bouveret.  

 

Aux derniers rayons du soleil couchant, Caramel, un des deux chats de la Maison, calme sa soif à la fontaine de la terrasse. 

Comme chaque année, cette fois aussi c'était très agréable. J'ai fait beaucoup plus d'efforts qu'à la maison, entrepris des "marches" beaucoup plus longues, fait d'autres mouvements que ceux que j'ai l'habitude de faire et noué de nombreux contacts avec des gens bien sympathiques. J'espère que toi aussi tu as eu autant de plaisir en vacances que moi.  

Déjà c'est l'automne, l'hiver s'impatiente derrière la porte, brrrh... 

Faut faire avec…  Tout de bon !  

                                                                   Erwin 

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 12.04.2013

 

Norvège: deux ados rapportent 62.000 euros oubliés dans un train 

 

Faisant contre bonne fortune bon cœur, deux adolescents norvégiens ont restitué 467'200 couronnes (plus de 62'000 euros) oubliées dans un train par un septuagénaire, a rapporté la presse norvégienne jeudi.

Les deux ados ont trouvé le pactole dans un sac à main oublié sur la banquette d'un train circulant mercredi entre Oslo et une petite localité du sud-est de la Norvège.

"Quand j'ai ouvert le sac, la première chose que j'ai vue, ce sont des liasses et des liasses de billets", a confié l'un des "découvreurs", Bendik, 16 ans, au journal local Vestby Avis. "Ma première pensée a été d'appeler la police", a-t-il ajouté.

Après un examen plus approfondi, les bons samaritains ont retrouvé parmi les billets le passeport du propriétaire, un septuagénaire, qui devait récupérer sa fortune auprès de la police ce jeudi.

La police a dit ne rien soupçonner de délictueux derrière l'énorme quantité d'argent liquide et l'on ignore si les jeunes gens ont été récompensés pour leur honnêteté.

 

Ça fait plaisir de lire un éloge sur la jeunesse, ça change avec les continuelles discriminations que les journaux semblent adorer publier à leur encontre.  

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11.04.2013 

 

à 83 ans, elle repousse un varan de Komodo d'un coup de pied

Haisah, qui ne porte qu'un seul nom comme beaucoup d'Indonésiens, était affairée à tailler un manche à balai sur le perron de sa maison sur l'île de Rinca (est), un des rares endroits au monde où vit encore le varan, quand un "dragon" de deux mètres de long surgissant de nulle part, lui a saisi la main. 

"D'un seul coup, il a attrapé ma main droite dans sa gueule", a-t-elle expliqué à l'AFP depuis son lit d'hôpital. "J'avais un couteau dans la main mais il est tombé quand il m'a mordu. Il n'y avait personne autour de moi et je savais qu'il fallait que je me batte pour survivre. Je lui ai alors lancé un coup de pied dans une patte, de toutes mes forces. Ce n'était qu'un coup de pied mais il m'a lâché la main. Je vais bien maintenant", dit l'octogénaire, après avoir reçu 35 points de suture à la main droite. "J'espère que je vais récupérer l'usage de ma main pour pouvoir continuer à fabriquer des balais".

Le varan (varanus komodoensis) est le plus grand reptile saurien carnivore du monde, pouvant atteindre trois mètres. Ce rescapé des temps préhistoriques est capable d'assommer un cerf d'un coup de queue et de dévorer une chèvre entière, crâne et cornes comprises.

 

Faut toujours se méfier des petites vieilles…

 

 

   13.04.2012 

 

C'est le 5 avril dernier aux États-Unis que le premier hôtel entièrement dédié aux jeu de construction Lego a ouvert ses portes au sein du parc à thèmes Carlsbad en Californie. Disposant de 250 chambres, cet établissement baptisé du nom de Legoland Hôtel devrait dans les prochains jours devoir faire le bonheur des passionnés des petites briques de couleurs qui, ici se trouvent plus que jamais mises à l'honneur.

Plus de 3 millions de briques de Lego ont été nécessaires à la création de la décoration

Entièrement dédié au jeu de construction Lego, cet hôtel pas comme les autres dispose également d'une décoration du plus bel effet qui met superbement en avant tout ce qu'il est possible de construire avec les briques en plastique. On s'attardera entre autre sur ce spectaculaire dragon disposé dans une tour à l'extérieur du bâtiment et qui aura demandé à ses auteurs près de 4'000 heures de travail pour assembler les 400'000 briques qui le composent.

 

   Il existe vraiment de tout au monde

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Que se passe-t-il

donc avec

nos fruits ?

Par Erwin

 

J'ai déjà parlé de l'orange, voici les fraises, les abricots et les pêches, avec un problème semblable. S'agirait-il d'une véritable épidémie ? Je crains fort que d'autres fruits vont les rejoindre.

Que se passe-t-il donc avec nos fruits ?    

Ils sont devenus un produit industriel, soumis aux règles du commerce, il faut que ça rapporte, les actionnaires réclament du bénéfice…

On les cueille de plus en plus vite, avant qu'ils ne soient à maturité. En ce qui me concerne, il me semble que je ne retrouve pas la saveur que je leur connaissais. Bien que leur aspect soit celui d'un fruit mûr, il me semble qu'ils sont plus durs et moins savoureux...

Je ne peux pas éviter de me poser des questions… Où donc sont-ils passés, nos fruits d'antan ? Ou plutôt, que sont-ils en train de faire à nos fruits d'aujourd'hui ?

Et s'ils étaient traités génétiquement ? De plus en plus je le soupçonne, je le crains .

Ne serait-on pas en train de chercher à rendre leur peau plus résistante afin qu'elle supporte mieux la cueillette, le transport et la manutention ?

Pour ce faire trifouillerait-on leurs gênes ?

En manipulant leurs gênes ne jouerait-on pas aux apprentis sorciers ?

On sait déjà qu'ils ont ajouté des gênes de poisson aux fraises pour qu'elles résistent au gel, un jour on apprendra peut-être que des gênes de Dieu sait quoi, qui n'a aucun rapport avec l'espèce en question, se trouvent dans nos fruits afin qu'ils rapportent plus à l'agro-industrie.

L’industrialisation de l’agriculture et la transformation des produits agricoles ainsi que la concentration dans la commercialisation ne cessent de progresser ce qui soumet les fruits à un stress auquel la nature ne les avait pas préparés. 

Il n'y a pas de limite à la puissance  et à la cupidité de l’agro-industrie.

J'espère me tromper, mais je crains le pire…  

 

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Sur ce même sujet, Arnaud Apoteker, docteur en biologie physico-chimique appliquée dit dans : 

http://www.alternativesante.com/gazette/sections/section.asp?NoSection=14&NoArticle=3

 

 

“ Le génie génétique est une révolution qui gagne silencieusement nos assiettes. Il fait moins peur que le développement du nucléaire et il est peu probable qu’il déclenche une catastrophe aussi brutale que Tchernobyl. Mais les biologistes moléculaires qui créent de nouveaux organismes vivants – comme des fraises comportant des gènes de poisson pour résister au gel – et les firmes agrochimiques et agro-alimentaires qui les lâchent dans la nature, risquent de créer une pollution d’un type nouveau: une pollution génétique, dont la caractéristique principale est la totale irréversibilité. Il montre en quoi l’utilisation des organismes génétiquement modifiés (OGM) risque de bouleverser de plus en plus notre alimentation et notre environnement dans les années qui viennent. Et il explique enfin comment une mobilisation citoyenne peut permettre de résister à la pression des intérêts économiques, en imposant des réglementations indispensables, avant qu’il ne soit trop tard ”.

 

  

 

Sans oublier ce que le génie génétique peut générer

 

comme conséquence dans le règne animal...

 

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Renardeau qui vient de quitter son nid

de Roland Clerc, photographe-naturaliste, Collombey-Muraz

 

 

 

N'a-t-il pas l'air de se dire:

"quelle est cette drôle de bestiole avec un seul énorme œil  qui me regarde ?" 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Comment ne pas être fasciné par ces attitudes et ce regard si confiant d'un animal qui découvre le monde qui l'entoure…

 

 

… et si j'allais jouer avec lui ?

...il n'a pas l'air bien méchant…

 

 

 

 Tout plein de magnifiques diaporamas sur son site

http://www.faune-valais.ch/   

 

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Affronter le changement de saison

 

Fin d'été, début d'automne, le temps est souvent chaud et humide, le climat devient changeant ce qui favorise les rhumes, mais aussi la dépression liée au manque de lumière. Le corps humain doit s'adapter aux changements naturels du temps.

L'automne est une période où éclatent facilement les thromboses et leur accès se produit souvent au dernier stade du sommeil. Si l'on se lève tôt le matin, cela peut réduire la formation des caillots sanguins et ainsi prévenir la thrombose.

L'ensoleillement diminue, la température baisse et le climat devient sec. Les feuilles des arbres et les fleurs se meurent, la lumière diminue et la pluie et le vent n'arrangent pas les choses, on a tendance à la mélancolie et à la tristesse. En ces temps gris il est important de préserver sa santé mentale et réduire l'influence néfaste exercée par l'automne sur notre corps. Il faut s'adapter petit à petit au changement de saison.

L'air devient plus vif, c'est donc une saison propice pour faire des exercices physique. L'exercice physique est bon pour le corps et pour le moral. Fais donc un peu de sport, mais ne tombe pas dans l'excès, les exercices ne doivent pas être violents ni en trop grand nombre. Pratiqué de manière modérée l'exercice physique renforce le système immunitaire qui sera ainsi plus apte à lutter contre les infections hivernales.

Si tu veux que ces exercices portent leurs fruits, choisis une activité qui te plaît, si tu les fais à contrecœur, ils auront beaucoup moins de succès !

À propos de fruits, c'est le moment ou jamais de faire une cure de raisins, ça aide à désintoxiquer le corps et c'est tellement bon !      

 

 

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 Je continue le récit de mon papa, au moment où deux barons l'ont rejoint en prison...

LorsDepuis le début de la guerre mondiale il éptait ionterdit de parler en langue allemande et cela sous peine d'amendes jusqu'à 3000 roubles ou mêrme de prison. Nous n'avions donc pas le droit de parler la langue de Goethe, ce que les deux barons n'arrivaient pas à comprendre. Régulièrement ils commençaient à parler en allemand, jusqu'à ce que je leur ai dit que je les dénoncerai s'ils continuaient, je n'avais aucune envie d'écoper une condamnation à caus d'eux, Cette menace eut plus de succès que lesd simples demandes, depuis ce moment nous parlioins en letton. Tous les jours les barons me demandaient quand je serais liberé. pourtant je leur avais déjà dit X fois que je n'en savais pas plus qu'eux-mêmes, que moi aussi je ne savais pas du tout ce que l'avenir me réservait.

Lors de notre premier repas survint un événement amusant. A Moscou il n'était pas possible de se procurer ses repas du dehors, selon le règlement nous devions manger la même nourriture que tous les prisonniers. La porte de la cellule était munie d'un abattant, c'est par là que le gardien nous passait nos assiettes dans lesquelles il jetait, avec ses mains, un morceau de viande qu'il pêchait dans un plat, il y ajoutait les légumes avec une poche. Lors du premier repas en commun, un des deux barons s'écriait : "Regarde, Harald, comme les mains de ce type sont sales, avec ça il prend notre viande, je ne peux pas manger cela" sur quoi je lui ai fait remarquer, avec ironie, que s'il préférait la faim, c'était son affaire.

Après une semaine de séjour dans cette prison, le baron qui se faisait appeler Harald, me demanda de nouveau : "Monsieur Jung, quand pensez-vous que vous serez libéré ?" je lui répondis : "si vous voulez le savoir, eh bien voilà, c'est demain que je quitterai ces lieux, qui commencent à me dégoûter à cause de votre présence."

Le lendemain l'abattant de la porte s'est ouverte à une heure inhabituelle et une voix appelait : "Junker, empaquetez vos effets". Je fus profondément surpris et j'ai pensé à ma boutade d'hier, je n'en laissai rien voir et regardai les deux barons avec un sourire malicieux. Dix minutes plus tard, l'abattant s'est ouvert une nouvelle fois, la voix demanda "êtes-vous prêt ?" J'ai répondu oui et la porte s'est ouverte, je suis sorti de la cellule. Un étage plus bas je rencontrai le chef des gendarmes montés qui me félicita pour ma libération ! Je n'en croyais pas mes oreilles. Au bureau on me rendit le solde de mon argent, toutefois sans le portefeuille, il s'est perdu…

C'est seulement une fois passé le grand portail en fer que j'osai croire à ma liberté. Après avoir loué une chambre d'hôtel pour la journée, je me suis lavé, rasé, un peu nettoyé mes vêtements et mangé quelques canapés. Alors j'ai envoyé un télégramme à mes parents pour leur signaler mon retour. Je pris le train pour W. La ligne de chemin de fer que j'empruntais était d'un genre unique dans le monde entier. Un voyageur ordinaire n'y voyait rien d'extraordinaire. Mais en regardant par la fenêtre du train je vis que nous traversions la même rivière à plusieurs reprises, à croire que la construction de ponts ne coûtait rien ! Nous traversions des sites sur des viaducs où il aurait été possible de passer sans ces constructions coûteuses si on avait déplacé le tracé de quelques centaines de mètres. Pourquoi diable cette idiotie ? Sont-ce des amateurs qui ont construit cette ligne de chemins de fer ? Eh bien, oui, c'est une ligne historique, elle a bien été conçue par un amateur, par le Tsar Nicolas Ier  ! La ligne Moscou – St.Petersbourg  devait être construite par des ingénieurs selon des plans mis au concours, mais le parlement n'arrivait pas à se décider sur le tracé qu'ils allaient adopter. Le Tsar, en ayant marre, prit une carte topographique et avec une règle tira un trait de Moscou à St.Petersbourg et dit : "C'est ici que passera la ligne de chemin de fer" ! Voilà la raison pour laquelle cette ligne de chemin de fer ne comporte aucun virage, elle va en ligne droite d'une ville à l'autre !

Pour un ami de la nature et forestier comme je l'étais, le paysage que nous traversions était magnifique, on passait par des forêts de bouleaux avec un sol sablonneux, des forêts de pins habitées de chevreuils et on longeait des rivières bordées de roseaux et peuplées de canards. 

 

Arrivé à W j'ai retrouvé mes parents en ville. Ce furent des retrouvailles chaleureuses après une longue période anxiogène. Après avoir dîné ensemble nous sommes allés à S où mes parents habitaient. C'est un tout petit village qui se trouve près du domaine L où j'avais fait mon apprentissage pratique avant de faire les études au Technicum.

J'ai habité avec mes parents en Estonie, pays où je suis né. J'ai toujours bien aimé les Estoniens, c'est-à-dire le peuple estonien, à ne pas confondre avec les soi-disant intellectuels, ceux-là m'ont toujours été antipathiques au plus haut point. Ce sont des gens qui reniaient leurs origines et qui voulaient être considérés comme Allemands.  Cette politique s'est développée parce que tous les grands propriétaires terriens étaient des Allemands immigrés. Des Estoniens qui s'appelaient, par exemple, Rebaue ont changé leur nom en Fuchs, ce qui à leurs yeux sonnait mieux que leur nom d'origine (Rebaue en estonien  c'est Fuchs en allemand). Ce genre de changement était courant à ce moment-là en Estonie.  

La localité dans laquelle mes parents habitaient était fort bien située, il y avait un étang où on pouvait pêcher et une belle forêt.

Mon oncle, le frère de papa, chef de la gendarmerie montée, m'avait conseillé d'aller en Suisse, car dès qu'une personne avait eu à faire à la police politique Russe il se trouvait sur une liste noir et serait poursuivi jusqu'à ce qu'il aboutisse en Sibérie. Cet homme était du métier et devait connaître les tactiques des Russes. Après réflexion j'ai décidé de retourner dans mon ancien lieu de séjour, le Kurland, en passant par la Finlande, la Suède et l'Allemagne.

Pour pouvoir obtenir une autorisation de quitter le pays je devais habiter un mois à St. Petersburg afin d'obtenir un certificat de bonnes mœurs. J'ai donc loué une chambre meublée dans cette ville où je suivis, pour me passer le temps, un cours de dactylographie en langue russe. Arrivé au bout de mon mois à St Petersburg j'ai obtenu les papiers nécessaires pour quitter le pays, et j'ai quitté la Russie par Bjeloostrow et la  Finlande.

Les paysages en Finlande sont vraiment uniques dans leur genre, forêts et lacs se succèdent en un rythme ininterrompu. Dans les plaines on voyait d'énormes blocs de rochers, isolés, comme on en voit en montagne. Peu avant la tombée de la nuit a eu lieu le contrôle des passeports dans le train. Ils ne m'ont pas rendu le mien et m'ont ordonné de quitter le train à la prochaine gare. Le gendarme m'a dit que je devais dormir dans un hôtel et que l'on me rendrait mon passeport le lendemain à la gare quand le train continuera sa course en direction de la frontière suédoise.

J'étais certain qu'on allait à nouveau m'arrêter: "quand la police politique nous tenait dans ses griffes elle ne nous lâchait plus…"

Un policier m'a aidé à trouver un hôtel dans ce lieu inconnu. Arrivé à l'hôtel je me suis rendu au restaurant pour ingurgiter une bonne quantité d'alcool pour oublier la poisse qui me poursuivait. Le lendemain je me suis réveillé avec la tête fort lourde, je tentai de me soigner avec de l'eau froide. Arrivé à la gare je ne voyais pas mon gendarme d'hier, le train arrivait et toujours pas de gendarme ! A la dernière seconde il est quand même arrivé et me remis mon passeport en s'excusant du retard…

Le parcours jusqu'à Torneå durait toute la nuit et je ne pouvais donc pas voir grand chose par la fenêtre. Quand on est pour la première fois si loin dans le nord, la lumière du jour, quand le matin se lève, semble toute drôle. À Torneå on était encore en  plein hiver. En 1916 il n'existait pas encore de correspondance de chemin de fer entre Torneå et Haparanda on devait traverser la rivière de Torneå à pied sur l'épaisse couche de glace. De l'autre côté de la rivière, à la frontière entre la Finlande et la Suède avait lieu le dernier contrôle des passeports, un policier courtois a tamponné mon passeport en me souhaitant bon voyage. C'est seulement en arrivant sur sol suédois que je me suis sentis en sécurité et en liberté.

J'ai dû attendre trois bonnes heures jusqu'à ce qu'un train parte en direction de Stockholm. Comme la faim commençait à se faire sentir je me suis rendu dans un établissement où on trouvait à manger, un modeste bistro où il y avait beaucoup de soldats et d'officiers.

Après avoir visité la petite ville il était l'heure de me rendre à la gare si je ne voulais pas manquer mon train. Les wagons de troisième classe étaient plus étroits que les wagons russes, mais bien plus propres, tout comme les voyageurs. C'était un jour de semaine et je fus surpris de voir que les gens étaient tous habillés en "dimanche". On ne différenciait pas l'ouvrier de l'employé.

Le train roulait toujours en direction du sud, je pouvais admirer des paysages comme je n'en avais jamais vu. Dans les trains suédois le dernier wagon était panoramique, il y avait deux bancs en plein air et on pouvait admirer le paysage. Pour moi ce paysage était inhabituel, des chaînes de montagne qui se perdaient au loin à de nombreux kilomètres. 

Le trajet de Haparanda à Stockholm est long, surtout si on roule de nuit. Il ne fallait pas compter dormir car je n'étais pas dans un wagon-lit. Plus on se dirigeait vers le sud, plus le paysage changeait. Petit à petit la neige disparaissait. Je connaissais Stockholm pour y  avoir passé des vacances. Je me souviens de ce qui s'était passé quand je fus pour la première fois en Suède et que je voulus manger dans un buffet de gare. Ne connaissant pas la langue suédoise je n'arrivais pas à déchiffrer ce qui était écrit sur les différentes affiches, une chose toutefois était claire, le truc coûtait 2 Couronnes 50. Jai choisi une assiette avec des canapés, qui ne suffirait sûrement pas à calmer ma faim, mais mon portemonnaie ne permettait pas une dépense plus élevée pour ce jour-là. En Russie j'aurai obtenu pour le même montant trois bons repas. Plus tard j'ai appris que pour ce montant j'aurais pu manger tant que je voulais, je me suis rattrapé depuis.

J'ai été à la Légation Allemande pour obtenir un visa de traversée et ensuite au Consulat Suisse. Le Consul n'était pas Suisse, mais c'était ce qu'on appelait un "Consul honoraire", un suédois qui liquidait les affaires du Consulat pour la Suisse.

Et le voyage continua en direction du sud, vers Malmö afin de pouvoir ensuite aller de  Trelleborg à Sassnitz. La traversée s'effectua avec un bateau Trajekt qui transportait deux trains avec des marchandises.

 

À suivre  -   Images d'Internet 

 

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                     Sharon Stone

 

est née le 10 mars 1958 à Meadville, en Pennsylvanie issue d'une famille modeste et fait ses débuts en 1975 comme mannequin.

En 1980, elle obtient un tout petit rôle dans Stardust Memories de Woody Allen. Mais le succès arrive seulement douze ans plus tard quand elle interprète Catherine Tramell dans Basic Instinct, qui va lancer sa carrière cinématographique. Le film fait scandale notamment pour la scène de l'interrogatoire au cours de laquelle Sharon Stone croise et décroise lentement les jambes en dévoilant, sur un plan du film, qu'elle ne porte pas de culotte. Le réalisateur Paul Verhoeven explique :

Quand on s'est aperçu qu'elle n'avait pas de slip pendant le tournage de cette scène quelqu'un est allé la voir pour lui dire: "Tu sais qu'on voit tout."

"Évidemment, je le sais imbécile ! C'est pour cela que je le fais ! "

Dès 1995, Casino lui vaut un Golden Globe et une nomination aux oscars. Parmi ses autres films il faut relever Mort ou vif  (1995), un remake de Diabolique et Gloria, qui n'obtiennent toutefois pas le succès escompté.

L'année suivante, elle rafraîchit son image de sex-symbol d'Hollywood en dévoilant à nouveau ses charmes dans les thrillers Sliver (1993) et L'Expert (1994).

En 2001. Sharon Stone est victime d'un AVC, une hémorragie cérébrale, qui aurait pu lui coûter la vie. "Un côté de mon visage tombait. J'ai pensé: "Je ne serai plus jamais jolie ! Qui voudra de moi maintenant ?". Heureusement, Sharon Stone surmonte cette épreuve.

Ce sont peut-être ces épreuves qui la font se tourner vers les autres, et s'engager pour de grandes causes telles que la lutte contre le sida. Comme bien des actrices et acteurs, elle s'est engagée pour les causes humanitaires, elle est l'ambassadrice de l'American Foundation for AIDS Research (Amfar), une association de lutte contre le sida.

 

D'après divers extraits de biographies d'Internet 

 

 

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de Christiane

N° 49

  

 

 

 

 

 

 

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Définitions du mot croisé N ° 49 

 

 Horizontal

 

A. Batelier

B. Terre entourée d'eau - couturier

C. Inhale - à toi

D. Arbuste - terminaison verbale

E. Assassiner - période

F. Vertèbre - héros disgracieux - commune de Belgique

G. Mille-pattes - instrument de dessinateur

H. Roue à gorge - accès de rage

I. Prophète - sport

J. Couleur - poète grec

 

Vertical

 

1. Ronds-points 

2. Encouragement - courant 

3. Chef-lieu de la Somme - liquide blanc 

4. Port Grec - cardinaux 

5. Organe de la vue - ancienne abréviation pour radio 

6. Genre musical - ancien do 

7. Poissons - raya 

8. Œuf allemand - araignée 

9. Grillera 

10. Pas fréquent - dévidoir à soie 

 

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                                                                                                                   Solution du n°48

 

 Blague de l'avant-dernière page

 

Maurice est en villégiature à la campagne. Il s'y promène et voit une vache attachée à un piquet dans un champ, avec juste un petit cercle pour paître. Il lève les yeux au ciel et prie: "Seigneur, toi qui est la justice, pourquoi cette vache ne peut-elle pas circuler librement comme les oiseaux dans le ciel ?". Et il continue sa promenade, un petit oiseau le survole et laisse tomber ses besoins sur son front.

Celui-ci lève de nouveau les yeux au ciel et dit: "Excuse-moi, Seigneur, tu n'est pas seulement juste, mais tu as vraiment tout organisé intelligemment" !       

 

 

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Patients et soignants

 

Accouchement à domicile. La sage-femme va dans la chambre à coucher, elle en ressort deux minutes plus tard et demande au mari de lui donner une pince. Elle retourne dans la chambre et on entend dégringoler quelque chose avec fracas et  vacarme. La sage-femme revient une nouvelle fois, baignée de sueur et réclame un marteau et un ciseau. Le mari devient toujours plus pale, il a les jambes qui tremblent… aussi la sage-femme le rassure :

-   Ne vous faites pas de soucis, je n'arrive pas à ouvrir ma sacoche !

 

 

Après un accident de circulation la femme de la victime est convoquée à l'hôpital.

-   Docteur, comment va mon mari ?

-   Calmez vous, madame, presque toutes les blessures guériront en quelques jours.

-   Que voulez vous dire quand vous dites "presque toutes les blessures" ?

-   Ben, oui, toutes les blessures, sauf celle à la tête, celle-là elle était mortelle !

 

 

Le médecin dit au patient

-   Je regrette, je ne trouve vraiment rien qui ne va pas, je suppose que c'est l'alcool !

Et le patient répond :

-   Alors je reviendrai quand vous serez de sang froid ! 

 

 

Un patient retourne, guéri, chez le médecin. 
-   Avez-vous bien suivi les prescriptions ?
-   Oui, c'est pour ça que j'ai guéri si vite !

-   Et qu'avait-il d'écrit sur l'emballage ?
-   Gardez le flacon toujours bien fermé... 

 

 

 

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